Un adorable piège
Datte: 16/06/2018,
Catégories:
fffh,
jeunes,
inconnu,
volupté,
strip,
Voyeur / Exhib / Nudisme
fdomine,
conte,
... le contact doux de ses lèvres venant sur les miennes et l’odeur excitée de son souffle, puis sa sensation de sa langue venant se joindre à la mienne. Émilie s’était mise à genoux et profitant de la situation, avait elle aussi prise mon gland tout entier entre ses lèvres et le pressait dessous avec sa langue, là où se trouvait le frein et que c’est tout particulièrement sensible. Je lui fis comprendre par un mouvement de hanche que ça allait venir, que j’étais au bord de l’explosion. — Émilie, dit Sophie, là il va exploser, si tu ne veux pas tout prendre en bouche… ! Émilie ne répondit pas, sans lâcher sa proie, elle sera ses lèvres et je la sentis le souffle court. « Émilie complètement envahie par l’excitation a envie de connaître le goût du sexe », me dis-je alors que la langue d’Émilie faisait un dernier effleurement fatal. Vanessa dut me sentir jouir, car j’eus un fort goût d’excitation sur nos langues, quand je sentis mon sexe éclater de plaisir, tenant le visage d’Émilie pour éviter de lui enfoncer mon sexe par les mouvements incontrôlés de mon bassin. J’eus l’impression que tout mon corps se liquéfiait à travers elle. Alors que Vanessa ne lâchait plus mes lèvres, Émilie tâtait, pinçait suçait mon sexe qui tardait à se détendre tellement l’excitation était forte. Émilie recula alors son visage et fixa ma bite qui devenait molle. — Émilie, dit Sophie, tu dois être complètement excitée toi aussi, il faut qu’on te libère aussi !— Oui je n’en peux plus, avoua Émilie qui ...
... s’était passé une main dans la culotte et avait introduit deux doigts entre ses lèvres détrempées. Sophie et Sandra me regardaient avec un regard sans équivoque, puis Sandra regardant Vanessa : — Et toi Vanessa, tu supportes encore le jean ? Vanessa plongea ses yeux bruns dans les miens et dit : — Non, plus du tout, j’avoue que j’ai la culotte complètement trempée. Elle avait appuyé sur le mot « complètement ». Elle ajouta encore : — Comme Émilie, personne d’autre que moi, ne m’a encore fait jouir ! Et me regardant droit dans les yeux : — Et toi, tu n’as pas envie de découvrir ma chatte ? À ces mots, ma poitrine se serra et je ne pus que lui murmurer dans l’oreille : — Oh si et tu ne peux pas savoir combien ! Cela faisait un long moment vous pensez bien, que j’en avais envie, il ne s’était d’ailleurs pas passé une rencontre avec elle, sans que j’y pense à un moment ou un autre. Je me demandais comment elle était nue et trop souvent mon regard essayait sous le jean, où sous une jupe de découvrir comment pouvait être son sexe ! Elle aussi, je devais l’apprendre bien plus tard, essayait de découvrir le mien sous les formes du jean et rêvait la nuit à quelques scénarios torrides. Je la sentis alors me prendre les mains et les poser sur son jean. J’ouvris alors celui-ci sans quitter ses yeux. Puis je me laissai descendre à genoux en même temps que tombait son jean. Je me retrouvai assis sur mes talons, avec sa petite culotte à hauteur de mes yeux, elle était en coton blanc et ...