1. La Queue du Diable (Our Demon Side CH1) (4)


    Datte: 17/06/2018, Catégories: Hétéro

    ... bougeait toujours pas, je le pris carrément en bouche. — Arrête ! Touche-moi, moi ! Enfin une réaction ! Je relâchai Predator qui protesta. — Continu déesse, ignore-le ! C’est lui que j’ignorai. — Pourquoi est-ce que je devrai arrêter ? je lançai à Tempter. Il a si bon goût… Mon incube blond se tut et je fis mine de reprendre son frère. Il tira sur ses liens et se livra enfin : — Parce que tu es à moi ! Sa réponse me surpris un instant. — Et en quel honneur ? — Je veux être le seul à te baiser parce que c’est la meilleure chose que j’ai faite depuis une éternité et que je n’ai pas envie qu’un autre que moi ressente la même chose, ça te va ? Tu es à moi, c’est tout. Je le regardai, bouche-bée. Est-ce que ça signifiait que j’occupais sans cesse ses pensées comme il le faisait avec moi ? En tout cas, il avait l’air de tenir à ce que son frère ne me touche pas. Je ne pus m’empêcher de penser que c’était à cause de la malédiction que son père avait jeté sur moi. Je fronçai les sourcils. — Vous les incubes, vous êtes les rois des manipulateurs. Et j’avalai la queue de son frère. Le grondement de protestation que me parvint me fit me sentir victorieuse, et je pris un immense plaisir à aller et venir sur la queue de l’incube. Ce dernier se mit à assener à ma bouche de violents coup de reins qui firent taper sa bite tout au fond de ma gorge, à m’en étrangler. De la salive, trop abondante, dégoulina d’entre mes lèvres et j’en profitai pour lubrifier le sexe qui me bourrinait la ...
    ... bouche. Je saisis les testicules qui me frappaient le menton, et les serrai fort, ce qui fit gémir leur propriétaire. — Cette salope-là a un don, l’entendis-je dire péniblement à son frère. Je comprends pourquoi tu la veux pour toi tout seul. Mécontente, je mordis légèrement l’incube, et ce fut suffisant pour qu’il se taise. Puis je repris mon va-et-vient beaucoup plus rapidement. J’ajoutai mes mains dans l’affaire, et serrai, malaxai son pénis avec force au rythme de mes allers et venues. Si bien qu’il se mit à ne plus pouvoir contrôler sa respiration et qu’il se mit à trembler. La lumière qui l’enveloppait devint douloureuse à regarder. Presque aussi douloureuse que mes lèvres l’étaient à force de m’activer à cette vitesse. L’incube rejeta la tête en arrière et -malgré le fait qu’il soit accroché à la croix- il tenta de me saisir mes cheveux en tirant sur ses liens. — En toi… en toi…, râla-t-il, son regard jaune dément. Viens, met-toi sur moi… monte et empale-toi. Son pouvoir d’attraction m’atteignit comme une gifle et j’eus envie de lui obéir. Je lâchai son sexe et me relevai en gardant le contact entre son corps et le mien, torse contre torse. Puis, finalement debout et à peu-près à la bonne hauteur grâce aux talons que j’avais mis, je levai la jambe et écartai ma culotte pour laisser passer son sexe monstrueux et vibrant. J’étais littéralement hypnotisée par lui, j’avais envie qu’il m’écarte les parois intimes comme jamais, qu’il me fasse mal et que je m’en souvienne pendant ...
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