1. Histoire d'une pisseuse


    Datte: 17/06/2018, Catégories: Lesbienne Inceste / Tabou Voyeur / Exhib / Nudisme

    Un jour, un vieux monsieur m’a demandé si je voulais bien faire pipi sur lui. Je n’avais jamais fait ça auparavant.C’était en plein été. Il m’avait abordée à la terrasse d’un café où je m’étais assise pour bouquiner. Un monsieur bien sur lui, poli et cultivé. Il m’avait offert un verre à cette terrasse, puis deux, puis trois. Ensuite, nous étions allés chez lui, car il possédait beaucoup de livres et de 33 tours de musique classique qu’il voulait me montrer. Je n’avais pas d’attirance particulière pour les vieux messieurs, à cette époque, ni pour la musique classique d’ailleurs, mais je l’avais trouvé aimable et attachant. Je devais avoir 21 ans.Je l’ai laissé m’embrasser dans son canapé, puis me toucher, et nous avons eu une relation sexuelle dans son lit. Quand je lui ai demandé à quel endroit il voulait que je fasse pipi, il m’a répondu :« Viens t’asseoir sur mon visage. »J’ai rencontré plusieurs autres vieux messieurs par la suite. Et des moins vieux aussi. Certains m’ont abordée sur d’autres terrasses de cafés, ou dans des parcs publics, parfois dans la rue. Mais le plus souvent sur Internet, via des sites de rencontres et des dialogues sur Messenger.Aujourd’hui, j’ai presque 40 ans. Je n’ai pas fait le compte des hommes qui m’ont demandé de leur faire pipi dessus. Je n’ai pas compté non plus ceux qui m’ont rendu le change. Je n’ai pas fait de moyenne d’âge, mais je serais tentée de dire, à vue d’œil, que plus on avance dans le temps, plus on est tenté par les jeux ...
    ... d’urine.Je me souviens d’un homme d’une quarantaine d’années, que j’ai revu de nombreuses fois et avec qui j’allais me promener dans des lieux publics assez variés : parcs, sentiers pédestres, rues piétonnes, mais aussi rayons de grandes surfaces. A chaque fois, je portais une jupe ou une robe, sans rien dessous. Tout en marchant et en croisant des dizaines et des dizaines de personnes sur notre passage, je pissais. L’urine coulait le long de mes cuisses et de mes jambes, jusqu’à mes pieds, puis elle se répandait derrière moi. Mon partenaire aimait que je le prévienne alors.Que je lui dise :« Je pisse. »Et alors il me répondait :« Salope. Tu n’imagines pas comment tu me fais bander. »Généralement, pour finir, nous nous trouvions un endroit pour baiser. Il pouvait s’agir d’un coin de forêt, de bosquets dans un parc, mais aussi de WC publics où il me baisait systématiquement debout.Je me suis plusieurs fois faite surprendre en train de pisser. Adolescente, dans un sous-bois situé au bord d’une aire d’autoroute, je me souviens d’un homme qui avait au moins l’âge de mon père, qui est tombé sur moi tandis que j’avais ma robe relevée et ma culotte baissée au milieu d’un petit chemin. Il est resté là, immobile, les yeux grands ouverts à regarder ma chatte et le généreux filet de pisse qui coulait sur la terre.Je me souviens aussi d’un mec de ma promo, à la fac, qui a ouvert d’un seul coup la porte des toilettes qui ne fermaient pas à clé. C’était dans un appartement où se déroulait une ...
«123»