1. Cet homme


    Datte: 17/06/2018, Catégories: fh, telnet, fsoumise, hdomine, strip, vidéox, photofilm, pénétratio, fsodo, coprolalie, sm, gifle, fouetfesse, confession, regrets, fsoumisah,

    ... les draps ? Une pute comme toi s’en fout de dormir dans des draps sales, hein. Il n’attend même pas ma réponse et me jette sur le lit. Il lance d’un ton impérieux : — À quatre pattes. Je le vois enfiler un préservatif à côté de moi, très rapidement, et revenir se placer derrière moi. Il s’enfonce sans mal et commence un va-et-vient frénétique, salvateur. Je me caresse en même temps en évitant l’orgasme à plusieurs reprises. Il me tire les cheveux, me claque les fesses, vient mettre un, puis deux, puis trois doigts dans ma bouche pendant que je gémis sans relâche. Ses deux mains prennent ma bouche comme s’il tenait les rênes d’un cheval et qu’il montait une jument en chaleur. — Est-ce que je peux jouir, Monsieur ?— Jouis, poufiasse. Moi aussi je vais gicler. Tout son corps se contracte à cet instant ; il ralentit, puis se retire doucement pour aller mettre le préservatif rempli à la poubelle. Il se rhabille et me demande ce que je désire faire ; un film ? Pourquoi pas… La scène est surréaliste. Le Cercle des poètes disparus ne me fascine guère. Non pas qu’il ne soit pas intéressant, disons juste qu’il me laisse le goût d’une soirée ratée. Sans un mot, nous nous plongeons dans le scénario pour surtout ne pas avoir à nous côtoyer. Je le regarde de temps en temps comme pour espérer un retournement de situation, comme s’il allait soudain se tourner vers moi, me sourire en grand et déclarer « je t’ai bien eue hein ! » à la Surprise sur prise. En attendant que cet événement peu ...
    ... probable arrive, je reste triste et apathique, prisonnière de mon mutisme, craignant qu’il ne me trouve inintéressante au possible. — Tu vas bien ?— Oui ça va. Cette impression de l’énerver me fait mentir, je n’ai pas envie que la situation empire à cause de mes états d’âme. — Tu sais, il se peut qu’on n’ait pas de sentiments l’un envers l’autre ce week-end. Mais ce n’est pas grave, il fallait qu’on se rencontre. Il ne faut pas qu’on regrette. Tu comprends ? J’acquiesce, mentant pour la deuxième fois. Tout s’écroule, les discussions qu’on a eues, la grande affection développée pour chacun. C’est un parfait étranger que j’ai devant les yeux, comme si l’homme virtuel s’était éteint. Plus de marques d’attention, plus de sms à longueur de journée. Le film défile et je me pose mille questions. À la fin, je lui demande si je peux aller prendre une douche. Il accepte. Ma vue dans le miroir me fait sourire ; je me trouve jolie. Je retire mes vêtements un à un avec un peu de mal. Mal aux fesses, mal au cœur. Je m’accroupis toujours un peu groggy dans la baignoire, et, sous les gouttes d’eau brûlantes, libère mes larmes. Nous nous couchons tôt, il s’endort tout de suite tandis que je ne trouve pas le sommeil avant le milieu de la nuit. Je le retrouve le lendemain dans sa cuisine, découvrant au grand jour son appartement. Une décoration sobre mais de goût, un intérieur masculin, peut-être un peu triste. — Tu veux du café ?— Oui, s’il te plaît.— Tu as bien dormi ? Sa prévenance est toujours ...
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