1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°772)


    Datte: 18/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... sentais tenter de me submerger, de m'envahir, et je tenais tant bien que mal. Lorsque je criais du sang s'écoulait de ma bouche du à la force avec laquelle je me mordais lèvres, joues et même langue pour ne pas jouir. Et d'un coup d'un seul, mon cul et ma chatte se retrouvèrent abandonnés. Le Maître s'éloigna et me laissa tremblante, des spasmes irradiant tout mon corps, sanglotant, j’étais totalement perdue... J'étais épuisée, vidée. Je ne devais plus ressembler à grand-chose, échevelée, les yeux gonflés et rouges, les joues rouges d'excitation, de plaisir et de désir. Après plusieurs très longues minutes, pendant lesquelles je réussis lentement à me calmer et me remettre, je sentis que la main du Maître me caressait, d'une manière apaisante, doucereuse, aimante. - La seconde partie de ta sanction va commencer. Je vais accéder à ta supplication récente, tu vas avoir droit de jouir. J'entendais dans sa voix l'intonation ironique. Je ne pouvais m'empêcher d'avoir peur, mais en étant toujours toutefois terriblement excitée. Je reconnus le bruit d'un petit moteur, peut être un vibromasseur ? La main du Maître appliqua une substance fraîche sur mon clitoris, tel un gel lubrifiant, puis je sentis quelque chose de vibrant et tournant qui s'appuyait contre. Le Maître l'y maintint avec ce qui me semblait être du gros scotch. Puis il posa plusieurs pinces sur mes lèvres. Et puis plus rien. Je ne L'entendais plus, je ne sentais que le vibro entre mes cuisses et l'étirement de mes ...
    ... lèvres. Encore très excitée de ce qui s'était passé, les vibrations et la tête rotative ne tardèrent pas à me faire crier ma jouissance. Que cela faisait du bien d'être libérée !!! Mais les vibrations continuaient sans répit. Je jouis deux, trois, quatre, dix fois. Cela devenait douloureux. Je commençais à sentir une sensation de brûlure. Pourtant je ne pouvais me soustraire à cet objet qui continuait à me provoquer des jouissances malgré moi. Je ne les comptais même plus ! Le Maître revenait de temps en temps et me baisait soi Lui-Même soit avec un vibromasseur. Je ne sais combien de temps je tins, mais je me mis à pleurer d'abord doucement, puis de vrais sanglots hystériques. Je criais mes supplications, espérant que le Maître était toujours présent dans la pièce. J'implorais Sa pitié. Je n'en pouvais plus. Je criai grâce ! Au bout d'un temps qui me sembla interminable, le Maître s'approcha et retira les pinces une par une, me soutirant des hurlements de douleurs mélangés à des fortes sensations de plaisirs jouissifs malgré que je pensais ne plus pouvoir avoir de jouissance. Puis il arrêta les vibrations et la tête rotative. Et tira brusquement sur le scotch, l'enlevant, ainsi sans ménagement. Il me détacha de la croix doucement, m'empêchant de m'effondrer lamentablement sur le sol. Cependant si le Maître accompagna ma chute, il me laissa prostré. Après quelques minutes de silence, pendant lesquelles mes muscles essayaient de reprendre formes et consistances, un ordre tomba. - ...