1. LA VALSE (2)


    Datte: 22/07/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... nue. Elle fusionna directement avec Adélie, son bassin glissant contre le sien. Adélie pouvait sentir le sexe trempé de cette femme plus âgée, glissant sur elle, lubrifiant le moindre de leurs désirs. Les grandes lèvres des deux femmes s’embrassaient, se léchaient, gonflées de plaisir, humides. Parfois l’une des grandes lèvres d’une s’immisçait brièvement dans la fente du sexe de l’autre. Adélie gémissait dans la bouche de sa partenaire qui de son côté gémissait dans la sienne. Enlacées l’une contre l’autre, elles évoluaient de concert dans un plaisir crescendo. À un moment la femme descendit de sorte que sa bouche se retrouva face au sexe d’Adélie. Sans quitter le vert mystérieux qui semblait s’étonner, elle commença à lui lécher les grandes lèvres. Sa langue passait de long en large sur la vulve, très lentement, appréciant la courbe de ce fruit chargé de désir. Humide et intrépide, le bout de la langue s’aventura sur la fente d’où les petites lèvres fleurissaient. Elle lécha, parfois claqua sa langue sur l’ouverture qui ravit tous les sens. La poitrine d’Adélie se soulevait, ses paupières couvrant ses grands yeux, voilant son charme. La langue de l’inquisitrice finit par pénétrer le sexe de la fée. Adélie gémit doucement lorsqu’elle sentit ce bout de chair flirter avec ses muqueuses. La langue se prélassait dans cet antre humide et chaud, découvrant mollement les moindres recoins de cette intimité. Les mains de la femme étaient posées à plat sur l’extérieur des cuisses ...
    ... d’Adélie. Les doigts crispés sur les cuisses pâles, elle griffait doucement les fines jambes de la fée du bout de ses ongles pointus, vernis de rouge. Silencieuse mais assurée, elle se concentrait sur les gémissements d’Adélie pour poursuivre ses baisers lesbiens. Adélie ondulait du bassin, ses doigts d’albâtre égarés dans la chevelure brune de son amante. Les yeux fermés, la bouche grande ouverte, les jambes crispées, les abdominaux resserrés, la peau hérissée, Adélie s’enfonçait de plus en plus dans un cercueil de bonheur. Son amante, indéniablement douée avec les femmes, lapait le sperme du précédent partenaire. Sa langue recueillait avidement ce mélange unique de foutre et de cyprine, l’avalant goulûment à petites et précieuses lapées. Durant les rares occasions où Adélie entrouvrait les yeux, elle pouvait voir quelques gouttes de cette liqueur blanche sur la bouche de sa partenaire. L’une des mains de la femme alla se saisir du cou de la fée, le serrant légèrement, le griffant plus légèrement encore. Elle finit par imposer son pouce dans la bouche de la fée, qui le suça avidement. Elle invita ensuite Adélie à s’installer de sorte à avoir la croupe en l’air et le visage enfoncé dans un oreiller. Son cul, toujours aussi gracieux, baignait dans le faible et orangé halo d’un luminaire. La femme reprit ses caresses buccales, cette fois-ci avec plus d’envergure : le sexe d’Adélie était offert, ouvert, chaud et trempé. On distinguait clairement les grandes et les petites lèvres, ...
«1...345...9»