Ablation de grains de beauté
Datte: 19/06/2018,
Catégories:
fh,
médical,
Collègues / Travail
cérébral,
noculotte,
Oral
fsodo,
... chocolat, contrastant de façon délicieusement érotique avec la peau nue découverte en haut des cuisses. Elle avait dû remonter sa jupe à la taille pour pouvoir conduire car trop serrée, m’a-t-elle expliqué avec malice. Une culotte fine, presque transparente, recouvrait sa fente avec peine. Elle m’observait, cherchant à lire le désir dans mes yeux. Sous une veste de lin, elle portait un tee-shirt très échancré qui découvrait le sillon de ses petits seins. J’ai eu tout de suite envie d’elle, de la punir d’être aussi excitante, mais l’endroit ne s’y prêtait pas. — Tu es belle, Marie ; délicieusement belle et désirable. Satisfaite de l’effet qu’elle produisait sur moi, elle est sortie de sa voiture avec sa classe habituelle pour venir se glisser dans le siège de la mienne, les cuisses bien découvertes jusqu’à l’aine, exhibant la peau nue et satinée au-dessus de la lisière des bas. À peine quelques minutes plus tard, elle m’a avoué qu’elle aurait voulu me sucer tout de suite. — As-tu envie de moi ?— Je bande comme un malade.— Arrête-toi dès que tu peux, j’ai envie de sucer ta queue. Je me suis engagé dans un chemin de terre bordé d’arbustes touffus. Je suis sorti de mon véhicule, l’ai contourné par l’arrière pour me positionner debout contre sa portière. Je l’ai découverte torse nu, les seins à l’air ! Elle avait retiré son tee-shirt et baissé son soutien-gorge pour dégager les deux petits globes, qui finalement n’étaient pas si petits. Elle a baissé sa vitre en bombant le ...
... torse, les pointes des seins très érigées. — Tu ne t’es pas encore occupé de mes seins. Ils sont très sensibles. Si tu veux mettre ta queue dans ma bouche, il faut t’en occuper ! Je les ai caressés en triturant les pointes, observant sa réaction. Elle a soupiré en m’invitant à être moins doux. Alors je les ai malaxés, j’ai pincé les tétons en les faisant rouler entre mes doigts, tirant dessus au fur et à mesure de ses gémissements. — C’est très bon, tu sais bien t’en occuper. Donne-moi ta queue. Je me suis dégrafé et me suis collé contre la portière. Elle a saisi ma tige de ses doigts fins, s’est penchée pour l’engouffrer dans sa bouche. Elle a sucé ma bite comme on s’occupe d’un bâtonnet de glace, en salivant beaucoup, le regard plongé dans mes yeux. C’était terriblement excitant. Puis elle a recraché ma tige en la tenant fermement dans sa main, l’observant avec un air de quelqu’un qui réfléchit en fronçant les sourcils. Elle a soupiré avant de me dire : — J’adore sucer une bonne bite qui bande pour moi !— Profite !— Tu vois, moi aussi je sais sucer aussi bien que les petites salopes que tu as baisées dans ta vie. Sa décontraction vis-à-vis des choses du sexe contribuait à renforcer mon excitation. Nous nous connaissions à peine, et pourtant elle se comportait comme si nous étions amants depuis longtemps, n’hésitant pas à employer des mots grossiers. Je n’ai pas tenu longtemps ; elle faisait ce qu’il fallait pour que je jouisse vite. Je me suis répandu dans sa bouche en tirant ...