Ablation de grains de beauté
Datte: 19/06/2018,
Catégories:
fh,
médical,
Collègues / Travail
cérébral,
noculotte,
Oral
fsodo,
... ; vous avez été sage.— Sage, moi ? Pas vraiment ; disons prudent, ou conscient.— Vous n’êtes pas sage… que voulez-vous dire ?— Si j’étais à la place du monsieur trop bien élevé qu’apparemment vous voulez séduire, je ne serais pas sage ; je prendrais volontiers sa place pour passer une soirée avec vous. Je suis déjà séduit ! Elle a éclaté de rire, a décroisé et recroisé nerveusement les cuisses. Je ne me suis pas gêné pour observer ses mouvements. Elle a repoussé une mèche de cheveux d’un geste terriblement féminin et gracile. — Vous… vous êtes vraiment spécial ! Vous draguez toujours comme ça ? Bien, on les retire, ces fils. Vêtue comme elle l’était, sexy à souhait, ce n’était pas un hasard. On ne reçoit pas un patient dans cette tenue. D’ailleurs, quand elle m’avait demandé d’attendre, elle portait une blouse blanche très professionnelle. Elle aurait très bien pu se changer après mon départ. Je raisonnais à toute vitesse… C’est bizarre comme on se retrouve rempli de doutes face à une évidence, mais justement tellement évidente qu’on a du mal à y croire. Avant de quitter son fauteuil, elle a retiré ses bracelets, les a posés sur son bureau. Une évidence m’a sauté aux yeux : elle les avait mis pour me recevoir, mais le professionnalisme ayant pris le dessus, elle les a retirés pour travailler. Puis elle a soulevé une jambe, bien haut, attrapant le talon de l’escarpin, faisant semblant de l’ajuster. La jupe a glissé sur les cuisses, les dévoilant en totalité. J’ai eu tout le ...
... loisir de détailler son entrejambe : elle portait un collant sans empiècement. Plus aucun doute : elle s’exhibait carrément. D’ailleurs, elle m’avait jeté un très discret coup d’œil pour s’assurer que je n’avais rien manqué de son exhibition. Elle s’est prestement mise debout, et nous sommes passés dans la petite salle de soins attenante à son bureau. Prétextant que le soleil était trop fort – ce qui n’était pas tout à fait faux – elle a actionné la manette des persiennes de façon à les orienter face aux rayons lumineux, ce qui a créé une légère pénombre. — Allongez-vous sur la table, sur le dos. Une folle envie de caresser ses jambes m’a pris aux tripes. Au pire je risquais de prendre une baffe, mais après son exhibition elle devrait se laisser faire, alors je me suis lancé : — Une invitation au restaurant, ça se mérite, n’est-ce pas ?— Bien sûr ; je me suis habillée en conséquence. J’ai pensé que cette tenue est plus appropriée que la petite robe noire.— Ce n’est pas ce que je voulais dire. J’ai retiré mon bras de la table d’examen, le laissant tomber vers sa jambe. Mes doigts ont frôlé un mollet, la faisant tressaillir. J’ai lentement remonté la main, faisant crisser le tissu du collant. Je l’ai sentie frémir, tout en me laissant faire. Alors je me suis enhardi ; mes doigts couraient le long du nylon. Je la caressais lentement, tous les sens en éveil, guettant sa réaction pendant qu’elle s’affairait pour retirer les fils. Je remontai encore plus haut ; cette fois-ci, ma main ...