1. Il t'en restait au coin de la bouche


    Datte: 19/06/2018, Catégories: fh, jeunes, couple, boitenuit, danser, voiture, toilettes, jalousie, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme Masturbation Oral

    ... amant. Elle voulait se sentir dominée, esclave de son plaisir et de ses envies. Et plus que tout, elle voulait elle aussi participer à ce déchaînement sexuel. Elle lui prit la main, et en le regardant droit dans les yeux, la glissa sous sa jupe. Les doigts de son homme vinrent immédiatement taquiner ses lèvres intimes. L’idée de se faire caresser au milieu de tout ce monde était délicieuse. Il précisa ses attouchements sur son clitoris et elle ne put réprimer un gémissement. Elle se fichait bien qu’on l’entendît. Plus rien n’importait plus à ce moment que son plaisir, celui qu’elle avait longuement entretenu pendant toute cette soirée. — La discrétion n’a jamais été ton fort, ma puce.— On n’a qu’à aller dans un endroit plus tranquille. Elle l’entraîna alors vers les toilettes. Sans faire attention aux regards amusés qu’on pouvait leur lancer, ils entrèrent dans la première cabine qu’ils trouvèrent. Le peu de vêtement qu’elle portait encore tomba rapidement à terre. Il l’attira violemment à lui et l’embrassa, tout en laissant courir ses mains sur ses fesses, ses seins, sur sa fente inondée de plaisir. Puis il la retourna et la força à se pencher, les mains en appui contre la porte de la cabine. Il sortit son sexe de son pantalon, droit et dur comme jamais. Enfin, il se trouvait en position de force. La situation s’était retournée. Elle était nue, offerte à lui, n’attendant que sa bite. L’esprit revanchard, il ne lui accorda pas tout de suite ce qu’elle ...
    ... espérait. Au contraire, il s’amusait à frôler ses lèvres, son clitoris, avec le gland de son pénis. Elle gémissait comme la pire des chiennes, elle avait perdu tout contrôle d’elle-même. — Je t’en supplie, prends-moi… Il consentit alors à la satisfaire (et à se faire plaisir par la même occasion !). Il enfonça son sexe au plus profond de sa belle. De gémissements, elle passa alors aux halètements. À chaque coup de boutoir, elle poussait un cri de plaisir. Il était impossible pour quiconque se trouvait dans les parages d’ignorer les activités des occupants de cette cabine. Ses seins sautillaient au rythme de la bite qui la pénétrait. Sa jouissance résonnait dans toute la salle, alors qu’elle ne sentait plus que ce pieu qui l’emplissait. Soudain, il se retira, la remit face à lui et la força à s’agenouiller. Il prit son sexe en main et commença à le branler. À cette vue la demoiselle ouvrit la bouche, prête à accueillir l’offrande. Ce qui ne tarda pas. À grandes giclées, il lui maquilla sa jolie frimousse. Et sans un mot, il rangea sa bite, essuya son visage et la releva. — Rhabille-toi, on peut rentrer maintenant. N’étant pas en position de protester, vue la soirée qu’elle lui avait fait passer, elle s’exécuta, non sans amertume. Sortis des toilettes, tous les regards étaient tournés vers eux. Une jeune femme s’approcha d’elle et l’embrassa langoureusement, ne se gênant pas pour lui caresser les seins, les fesses… — Il t’en restait au coin de la bouche. 
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