Shemale dans une ruelle glauque
Datte: 20/06/2018,
Catégories:
Anal
Hardcore,
Transexuels
... se rétrécissait, comme pour nous envelopper dans une extase étouffante, comme pour nous forcer à jouir à bout de souffle. C'était le deuxième plus beau jour de ma vie.Oh, oui, elle bavait, elle encaissait, se débattait, je la calmais, elle acceptait... elle disait des longues phrases en espagnol et cela m'angoissait passablement : Ferme-là, pute, tu m'entends, ferme là ! Si je n'avais pas été aussi concentré, aussi impliqué dans cette brave entreprise de démolissage, j'aurais ressenti ces frottements et ainsi prévenus les écorchures et les croûtes qui me démangèrent dès le lendemain, et cela des semaines durant.Elle était parfaite, la Paola. Bien qu'elle ne fut pas docile, elle se soumettait tant bien que mal à mes désirs. Son amour des gros chibres surpassait probablement sa fierté de femme-homme mal abouti. Je jouais avec mon gourdin, tapotant son visage, lui fourrant dans les narines et dans les yeux, tandis qu'elle minaudait, respirait, aspirait l'air, sortait sa langue pointue et me soufflait des « ahhh si », je sévissais, la pilonnant, la ramenant non sans une certaine forme de délectation, à l'espèce de déchet marginal entre deux mondes qu'elle était ;. Elle n'osait pas le dire, sans doute galvanisée par le peu de pudeur qu'il lui restait – car à force d'arpenter les trottoirs à moitié nu, exhibant en corps façonné à coups de bistouris et d'hormones, on est contraint de mettre son honneur de côté- mais elle prenait du bon temps, elle aussi. Des mandrins, elle en voyait défiler chaque nuit et le mien, de belle envergure, était une très belle pièce.À bout de souffle, elle se rabattit sur mes testicules, me les massa en me regardant dans les yeux, de ses orbites bleu, jaune, vert, brillant, scintillant, plein de paillettes ; c'était un vrai phénomène de carnaval que j'avais ramassé là !cette histoire est un extrait de mon roman "Fourreurs Nés" disponible chez Tabou Edition