1. Histoire d'une représentante


    Datte: 20/06/2018, Catégories: fh, fplusag, extracon, Collègues / Travail Oral préservati, pénétratio, confession, extraconj,

    ... il me l’avoua plus tard, il le remarqua. Nous nous tutoyions déjà, aussi je pris parti de le considérer comme un simple geste d’encouragement et nous avons continué à converser, mais autant que je m’en souvienne, j’étais déjà troublée. Nous étions en retard lorsque nous avons regagné notre voiture de société et c’est sans méfiance aucune que je lui ai tendu les clefs qu’il me demandait. J’étais plongée dans mes pensées, lorsqu’arrêté à un « Stop », il s’est soudainement penché sur moi et ses lèvres se sont posées sur les miennes. Je me sentais mal à ce moment-là, mais c’est vrai, j’ai mal réagi. Peut-être est-ce inconsciemment ce que je souhaitais. Je n’ai pas eu la force, le courage ou l’envie e le repousser. Notre étreinte a duré quelques secondes et sans un mot, il a redémarré. Je ne savais plus où me mettre, j’étais comme dans un brouillard. Il conduisait en silence puis de nouveau sa main s’est posée sur ma cuisse. Je me souviens avoir pensé à mon mari, à mes enfants… de son sourire ravageur, lorsqu’il a quitté la route principale pour s’engager dans un chemin creux. Sa main était là bien présente sur ma cuisse, curieuse. Je n’ai rien dit. Là, nous nous sommes embrassés. Sa bouche, de passionnée, s’est faite vorace. Mon cœur battait « la chamade ». Ses lèvres posées sur mon cou m’affolaient tout autant que l’effluve de son parfum que je respirais. Progressivement mon corps y répondait et il le découvrait. Glissant sa main dans l’échancrure de mon chemisier, il a ...
    ... découvert ma poitrine, caressant le galbe de mes seins, s’amusant de la réaction de mes mamelons. Lorsqu’il a glissé sa main entre mes genoux, j’ai eu une pensée pour ma tenue. Pour m’en désoler… Sous ma jupe, élément de base d’une bonne représentante, paraît-il, rien de sexy. Non, juste un collant et une simple culotte gainante ! Sa main remontait. Caressait. Et je sentais son contact maintenant entre mes cuisses. Mon ventre se liquéfiait sous la pression de ses doigts et je n’y pouvais rien. Lorsque subitement il a souhaité sortir de la voiture, j’ai suivi. La partie était perdue ou gagnée, tout dépend. Sur un imper jeté au sol, nous nous sommes allongés. La voiture nous dissimulait des vues, il faisait bon, les premières chaleurs de printemps… J’étais dans le même état. Il caressait mes fesses, frôlait mon ventre. Sa bouche embrassait mes seins, m’embrassait. Je ne l’avais encore jamais fait avec un autre homme, mais lorsque David s’est attaqué à mon collant, j’ai laissé faire. J’ai bien eu cette pensée que j’allais commettre l’irréparable. Que ce ne serait plus comme avant… Que je trahissais mon mari… Mais dans le même temps, je plaisais encore… et même, à de très jeunes hommes. La preuve, je sentais son sexe contre ma cuisse. Je me suis levée pour, en un tour de main, me retrouver les fesses à l’air. — Tu aimes ? Que répondre ? J’ai un sexe assez fourni et j’imaginais dans quel état je devais être. J’ai senti ses doigts écarter mes lèvres intimes, sa langue s’y glisser, me ...