L'invitée (partie 3) - La troisième nuit, ou
Datte: 20/06/2018,
Catégories:
Masturbation
Sexe Interracial,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Je me lève le lendemain frais et dispo, je suis reposé comme rarement et en pleine forme. Il faut dire que deux éjaculations avant de dormir ça vaut tous les somnifères du monde. Il est encore tôt à l’écran de mon portable. Peu importe je vais en profiter pour arriver de bonne heure au travail et ainsi être de retour tôt à la maison. Mon rituel du petit déjeuner accompli je me rends dans la salle de bain pour me laver et me préparer, ce faisant je passe devant la porte de la chambre de Saoussen, il semble que ses activités nocturnes de la veille l’ont épuisée car aucune lumière ni aucun son ne filtre par la porte, elle doit encore être assoupie. J’entre dans la salle de bain, dont je ne verrouille pas la porte, on ne sait jamais notre invitée peut avoir un besoin urgent d’utiliser les robinets et il faut savoir accueillir ses hôtes dans les meilleures conditions. Si au passage elle se trouve confronté à moi-même sortant nu de la douche ou me brossant les dans uniquement vêtu de mon caleçon que voulez-vous, ce sont des risques auxquels il faut savoir se sacrifier. Mais j’ai le temps de me laver et de m’habiller sans que personne ne pousse la porte, j’en conçois quelque dépit mais au fond je ne m’attendais à rien de particulier. Je finis de me préparer puis sort de chez moi et ferme la porte sur la maison endormie.Toute cette journée se passe pour moi dans une demi-euphorie, je n’arrive pas à me défaire des images que m’ont évoqués les gémissements de Saoussen hier soir. Je la ...
... revois telle que je me l’imaginais derrière sa porte, la très prude, très sage et très timide Saoussen vêtue de son voile rouge lui ceignant la tête et la gorge, d’une culotte de soie de la même couleur raffinée, presque en harmonie avec la teinte sombre de ses chairs et enfin, nouvel ajout du jour à mon fantasme de la veille, une paire de bas remontant jusqu’à mi-cuisse et sublimant le galbe parfait des formes de ses jambes. Et, dans cet uniforme minimaliste, elle fait glisser ses mains sur son sexe, fais entrer un doigt dans la chaude et humide caverne de sa chatte, puis elle le fourre entre ses lèvres et le suce en gémissant, semblant se délecter du goût doucereux et âcre de ses sécrétions intimes. Ca a l’air de l’exciter encore plus, je la vois caler entre ses deux cuisses bronzées et musclées l’un des coussins dont nous avons garni son lit et commencer à se frotter dessus comme une chienne en chaleur, faisant des allers-retours et le maculant de sa mouille odorante. Elle se tient à genoux sur le lit, enjambant son coussin et se déhanchant dessus à l’image d’une cow-girl de rodéo dont le chapeau aurait été remplacé par un hijab et dont les cris seraient plus des signes de jouissance que de motivation. Ses cuisses semblent par moment prises de spasmes et elle enserre de plus en plus fort en leur étau l’objet de son plaisir, dans le même temps elle garde son corps penché vers l’arrière et continue de savourer sa propre cyprine en faisant faire à sa main de fréquents voyages ...