Je suis resté bouche bée (1)
Datte: 23/07/2017,
Catégories:
Zoophilie,
Je m’appelle Sofiane, j’ai vingt-cinq ans et je travaille pour mon compte dans le nettoyage de terrasse, de piscine, et quelques fois, je nettoie les vitres chez des particuliers. Aujourd’hui, en ce mardi matin, j’ai rendez-vous dans une maison bourgeoise en périphérie du centre-ville. C’est une cliente régulière qui me demande d’effectuer des prestations tous les mois, je ne la connais pas vraiment, car lors de mes interventions, elle n’est pas présente. Il n’y a que sa gouvernante, et quelque fois sa fille de dix-neuf ans qui est dans le domicile. Mais je ne la vois que très rarement. Il est neuf-heure, je sonne à l’interphone, puis je rentre avec mon véhicule de société. Je salue Monique la gouvernante. C’est une femme plutôt belle, elle doit avoir la cinquantaine, toujours bien habillée, et maquillée. Elle porte souvent des chemisiers ou des hauts qui montrent le haut d’une poitrine généreuse. Elle est attirante, mais sans plus. Soudain dans l’ombre, je vois une masse noire s’approcher de moi, c’est un jeune griffon de deux ans, il est un peu tout-fou, et me fait un peu peur à vrai dire. Je lui tends la main, il ne semble pas très agressif, mais je me méfie quand même. Monique me dit de ne pas m’inquiéter, car c’est le chien de Valentine, la fille de la propriétaire des lieux. Celle-ci sort précipitamment de la chambre, vêtue de son pyjama, il est assez classique d’ailleurs, puisqu’il s’agit d’un jogging, et d’un débardeur un peu ample. Elle tente de calmer la bête, et à ...
... ma grande surprise, elle embrasse le chien sur la bouche, ce dernier ne se prive pas pour lui rendre la pareille avec des coups de langue désordonnés. Jetrouve ça dégoûtant au point d’en avoir des nausées. Monique me propose de boire un café avant de démarrer ma prestation, par politesse, je ne refuse pas, puis après cinq minutes de discussion, je me presse pour effectuer la prestation du jour. Il faut nettoyer la terrasse de la piscine. Je prépare mon matériel, et comme d’habitude, la gouvernante va effectuer du repassage. Elle semble dépiter par la répétition de son activité, mais c’est la vie comme elle le répète souvent. De mon côté, je prépare mon appareil, qui est un nettoyeur haute pression, je fais mes branchements électriques, et d’eau. Je me mets enclaquette puis je commence mes allers-retours sur les planches. Au bout de deux heures, je me pose cinq minutes sur une des chaises du salon d’été, fume ma cigarette, et jette un regard sur les vitres du grand salon afin de voir si elles sont sales. Et je manque de m’étouffer en voyant ce que je vois. Valentine est posée sur le canapé, joue avec son chien, et quelques fois l’embrasse sur la bouche. Celui-ci ne se fait pas prier puisqu’il renvoie cet amour à sa manière. Visuellement, je vois aussi qu’il prend beaucoup de plaisir puisque son membre est en érection. Dans un premier temps, je me dis que les caresses sont d’une douceur extrême d’où cette réaction. Mais je suis vite sorti de cette utopie, lorsque la jeune fille ...