Phildomi au service d'Erika (1)
Datte: 21/06/2018,
Catégories:
Divers,
... minutes, la fille se relève, le garçon se reboutonne. Au moment de partir main dans la main, la fille se retourne vers Erika et lui fait un grand sourire. Erika répond à son sourire. Erika pense qu’ils ont de la chance, ils sont jeunes et assez inconscients. Elle se lève à son tour et s’en va. Elle traverse la seine, se retrouve devant le musée d’Orsay. Sur une impulsion, Erika décide de rentrer dans le musée. Une fois le billet pris, elle regarde les tableaux du musée. Elle passe de galerie en galerie et s’arrête devant l’origine du Monde de Gustave Courbet. Elle s’assoit et contemple l’œuvre. Décidément c’est vraiment le plus beau tableau qu’elle connaisse. Elle se lève pour mieux l’admirer. Elle sent une présence derrière elle — Joli tableau. La voix est douce mélodieuse. Je me demande si tous les sexes des filles sont comme cela, continue la voix. D’après vous, c’est avant ou après qu’elle est fait l’amour? — Je ne sais pas, répond Erika. Je ne connais pas tous les sexes féminins et pour l’amour, je dirais avant. Là, elle attend — Alors, votre sexe, est-il comme celui-là, aussi poilu et aussi ouvert? — Vous êtes bien trop curieux — Vous savez que Courbet a peint beaucoup de nue — Oui, répond Erika dans un soupir — J’aime bien la femme au perroquet — Dommage qu’elle ne soit pas à Orsay, répond Erika, mais vous avez raison, elle est très sensuelle Elle sent le corps qui s’appuie dans son dos, Erika ne dit rien, laisse faire. Elle aime cette ambiance feutrée, cette voix ...
... sensuelle. Toute à sa rêverie, elle n’a pas senti la personne partir. Elle sort de sa torpeur, regrette qu’il n’ait pas été plus loin, part du Musée. Arrivée dans la rue, alors qu’elle marche d’un pas rapide, elle pense qu’il faut qu’elle donne à manger à sa chatte, cela va devenir urgent. Elle ralentit le pas pour regarder les vitrines de vêtements,. Elle voit une ombre derrière elle. La voix dit: — Vous avez déjà quitté Orsay? J’ai l’impression que ce tableau vous a mis en émoi — Ho, monsieur, je ne vous permets pas Les corps sont l’un contre l’autre. Erika sent le corps qui se frotte sur son dos. Des mains passent devant et caressent ses seins à travers sa robe. Les tétons d’Erika durcissent rapidement. Les mains frôlent les tétons, passent sous ses seins, descendent le long de son ventre. Erika ferme les yeux et se laisse aller. La voix lui parle à l’oreille. Elle a l’impression d’une berceuse. Elle ne sait pas ce que la voix dit, ce qu’ elle aime c’est le phrasé, la douceur, la mélodie de cette voix. La voix ne dit plus rien, Erika ouvre les yeux. Il n’y a plus personne. Erika a un soupir de déception. Elle reprend sa marche et se dépêche pour rentrer chez elle. Il faut vraiment qu’elle donne à manger à sa chatte, depuis le temps qu’elle attend, il faut qu’elle s’en occupe. Erika presse le pas. Alors qu’elle est à cinq cents mètres de chez elle, elle entend de nouveau la voix derrière elle. Elle lui parle de tous les nues de femmes qu’elle connaît en, disant pourquoi elle ...