1. La piqûre


    Datte: 22/06/2018, Catégories: fh, fff, fbi, jeunes, asie, couple, copains, vacances, piscine, douche, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme massage, Oral pénétratio, fdanus, hdanus, jouet,

    ... qu’il a omis de refermer. Il faut dire que le matin, pour rafraîchir le bungalow, on ouvre portes et fenêtres. La jeune femme asiatique est vraiment ravissante avec ses cheveux noirs comme l’ébène tombant sur ses épaules, son joli visage avec son petit nez légèrement épaté, ses lèvres bien dessinées et ses yeux bridés. Son corps est déjà bien bronzé, sans la moindre marque de maillot, avec deux beaux seins bien proportionnés. Son ventre est plat, mais sans maigreur, avec des petites fesses bien fermes et des jambes fines. Lorsqu’on regarde Eiko, on est frappé par son pubis garni d’une toison brune aux poils aussi soyeux que sa chevelure qui semble scintiller au soleil. Contrairement à ses copines, elle n’a pas sacrifié sa toison pubienne sur l’autel d’une prétendue beauté absolue. — Tu veux que je le fasse ? dit-elle d’une voix très douce en regardant le garçon masser sa queue.— Quoi ?— Tu veux que j’étale le baume apaisant et cicatrisant sur ta verge ? Une main féminine te permettra de guérir plus rapidement. Elle reste là, sans bouger, laissant Fabrice apprécier la vision qu’elle lui offre de son corps parfait. Il l’a vu, ce corps ; il a pu déjà en apprécier la beauté, mais pourtant il lui semble le découvrir à nouveau, du moins d’une façon différente, sous un nouvel angle. En même temps, elle ne quitte pas des yeux la verge qu’il enduit de pommade. Il en éprouve un peu de gêne, non de la pudeur – il n’en a plus guère – mais un certain malaise de se sentir ainsi observé ...
    ... dans un soin intime. Cependant, la proposition ne le laisse pas de glace, et lorsqu’elle monte sur le lit et colle son corps contre le sien, c’est l’attirance qui l’emporte sur la confusion. Il sent sa peau douce et l’odeur exquise de sa chair. Son regard se pose sur ses mamelons qui se dressent fièrement et sur cette chatte comme une fourrure magnifiquement entretenue. Avec beaucoup d’autorité, elle prend la pommade, et avec une infinie douceur l’étale sur le vit pour la faire pénétrer. Fabrice en éprouve immédiatement un bien-être absolu et commence à bander avec ces soins qui ressemblent à des caresses. — Eiko, je suis désolé, je ne peux pas me contrôler. Je ne devrais pas bander, mais là je ne peux faire autrement…— Pourquoi voudrais-tu te retenir ? C’est bien naturel que tu bandes. Je serais vraiment frustrée si je n’arriverais pas à faire grimper ta verge. Ton gland est-il douloureux lui aussi ?— Non, heureusement. Alors elle approche le visage de la verge qui, déjà gonflée, se détache de la cuisse sur laquelle elle était posée. Elle décalotte totalement le gland qui l’est à demi, et sans se servir des mains suce le bout rosé comme une tétine. Elle ne dépasse pas le frein, non qu’elle ne puisse pas enfoncer le dard plus avant dans sa bouche, mais pour ne pas abîmer la peau en convalescence. Lorsqu’elle retire la bouche, elle ne lâche pas le gland qu’elle parcourt avec le bout de sa langue, n’omettant aucune parcelle. Fabrice, qui n’a pratiquement pas éjaculé depuis la ...
«12...101112...15»