Terrible offrande
Datte: 22/06/2018,
Catégories:
fhhh,
extraoffre,
cérébral,
revede,
Masturbation
Oral
pénétratio,
Partouze / Groupe
totalsexe,
Pourquoi ? Je veux la donner. Je ne sais pas ce qui se passe. Je ne sais quel vice me pousse, ni quel désir me taraude si cruellement. Qui pourra me dire ? Pourtant je l’aime. Je veux l’offrir. Pourtant je veille sur elle et j’y tiens vraiment. Je veux qu’elle s’offre. Il m’arrive même d’être jaloux ! Mais en rêve, elle m’a trompé plus d’une fois et cela me plaît. Cela m’excite, ça me fait bander et même… jouir. Je lui ai dit et elle a aimé. Ça l’a excitée et même… fait jouir. Je lui ai raconté dans le détail la vision terrible qui m’assaillait régulièrement. Nous étions assis face à face au salon et je lui confiais la torture que m’infligeait un esprit fertile. Elle m’écoutait attentivement, surprise de cette confession presque coupable. Je lui racontais comment nous nous retrouvions, seul couple, dans une soirée qui se déroulait dans une demeure au fond d’un bois. Je lui disais combien les regards des hommes présents n’exprimaient que du désir. Un désir sexuel. Des fauves devant une antilope ! Quant à moi, j’étais comme invisible. J’étais là, mais personne ne me remarquait. Les hommes osaient tous les mots, tous les regards alors que j’étais là. Je lui dis que cette situation m’irritait. Elle rit à gorge déployée aux propos d’un éphèbe blond dont la chemise blanche ouverte, sous une veste de smoking noire, laissait voir un torse lisse. Je lui répétai mon irritation. Elle me tourna le dos et une main se posa sur ses reins. J’entendis son rire. Les hommes l’entouraient, me ...
... repoussant loin d’elle. Je voulus l’attraper par l’épaule, mes doigts effleurèrent à peine sa peau. Une main fit glisser la bretelle de sa longue robe de soirée. Je voulus fondre vers elle, repousser l’intrus, mais j’en fus incapable. Je me sentis flotter. J’avais la fièvre. Une bouche se posa dans son cou. Elle aime ça, je le sais ! Elle laissa sa tête tomber en arrière, offrant sa gorge. La nuée de mâles me la cachait. J’entendis son rire sonore, et des « oh », des « ah » de contentement. La grappe bougea. Là, sur le parquet ciré. Sa robe ! Je vis à son regard, que cette image l’avait émue. Elle sourit à l’idée de se retrouver nue au milieu d’un groupe. Elle était entourée de cette nuée. Entre les dos des costumes sombres, je voyais son corps nu, perché sur des hauts talons. Ses belles fesses ondulaient, une main les flatta. Je lui dis combien cette vision me faisait bander. Oui, j’étais excité. Paralysé mais bandé ! La musique s’éleva. Une valse ! Le cercle s’écarta et je la vis, collée à un brun ténébreux, se mettre à danser. Le cercle de mâles fermait la piste de danse. L’homme, une main posée au creux de ses reins, l’attirait vers lui, collant ses seins contre son torse nu. À chaque rotation, la main descendait. Sur la fesse. Il lui murmurait des choses, elle riait. Elle s’écarta de lui à la fin de la danse, ses tétons étaient durs, pointés. Un homme lui tendit une coupe de champagne. Il ne portait plus rien. Elle le remercia d’un regard appuyé et contempla le corps ...