Fantasme
Datte: 23/06/2018,
Catégories:
fhh,
couple,
couplus,
caférestau,
chantage,
noculotte,
BDSM / Fétichisme
Masturbation
fsodo,
jeu,
Déjà 19 h 30. Ils allaient arriver et je n’étais pas encore prête. Je me surprenais moi-même de ma nervosité. Mon mari avait déjà organisé des petites soirées poker à la maison et cela ne m’avait jamais rendue fébrile à ce point. Mais ce soir, c’était différent. D’abord, il n’avait pas invité les personnes habituelles. Généralement, ne venaient que des gens assez ennuyeux, il fallait bien l’avouer. Des collègues de boulot sans beaucoup de charme, parfois accompagnés de leurs épouses pas vraiment sympathiques ou intéressantes. Bref, le plus souvent, je somnolais sur le canapé en les écoutant jouer et en servant de temps en temps quelques boissons ou petits sandwiches. Mon chéri m’avait bien proposé de jouer, mais je ne trouve aucun plaisir aux jeux de cartes. Peut-être un strip-poker avec mon homme, mais que si j’étais sûre de gagner à la fin, même si je perdais ! Mais jouer de l’argent pendant des heures pour le seul frisson de risquer de tout perdre, très peu pour moi. Alors je finissais avec un bouquin sur le divan à attendre que ces messieurs en aient assez. Mais ce soir c’était différent. Il n’y avait qu’un seul invité. Un drôle de personnage selon la description que j’avais eue. Un certain Damien que ma moitié avait rencontré à une autre soirée poker, apparemment assez fort. Un individu assez trouble aussi, proche des patrons de mon homme, mais aussi un peu voyou qui vivait beaucoup la nuit. Je ne savais pas trop à quoi m’attendre, mais ma curiosité avait été piquée au ...
... vif. Le personnage ressemblait un peu à des hommes que j’avais connus avec de rencontrer celui de ma vie. Plus particulièrement, à un individu avec qui j’étais sorti. Une histoire passionnée et violente qui m’avait laissé plutôt des mauvais souvenirs, mais aussi certains particulièrement torrides que j’appelais encore aujourd’hui à la rescousse quand mon plaisir tardait à venir. Il était très beau, hongrois, sombre et j’étais totalement amoureuse de lui. Pour lui, j’avais fait des choses qui ne me correspondaient pas du tout et j’aurais pu aller encore beaucoup plus loin. Je me souvenais d’un voyage à Lyon. Arrivés à l’hôtel, nous n’avions pas quitté le lit pendant douze heures. Puis il avait voulu sortir. Il m’avait confisqué tous mes sous-vêtements, comme un jeu. Je ne pouvais porter que ceux que je trouvais et si j’en voulais quand même un, sans l’avoir trouvé, il fallait que j’accomplisse un gage. Vous imaginez le genre du gage. Je lui avais tenu tête et j’étais sortie nue sous ma robe pour aller au restaurant, pour la première fois de ma vie. C’était l’hiver et la robe était suffisamment épaisse pour me prodiguer un certain sentiment de sécurité, mais mon amant avait les mains terriblement baladeuses et ses caresses avaient un pouvoir excitant décuplé par l’absence de dessous. À la fin du repas, il s’était assis à côté de moi sur la banquette, en attendant les cafés, et avait commencé à me frôler la cuisse. Petit à petit, sa main était remontée jusqu’à mon sexe que rien ...