-
Trois jours près d'elle
Datte: 23/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Mature, Première fois
... lit.J’étais allongé sur le dos . Elle fit glisser à son tour son short moulant et vint s’allonger tout du long sur mon corps. Le fourreau de sa chatte poisseuse et brûlante enveloppa vite mon sexe dressé. Puis, par des mouvements imperceptibles de ses reins, elle fit coulisser ses chairs intimes sur mon sexe. Bientôt je jouissais en elle.Je m’endormis ainsi comme englouti dans ses chairs.DimancheLe lendemain matin une fois encore je me réveillais sans la trouver auprès de moi. Juste un bout de papier et son écriture: " Rendez-vous à neuf heure au bord du lac à côté de la barque. Prévois un maillot de bain et beaucoup de plaisir…" et pour seule signature : "la maman de Florient".Je rejoignais le petit lac qui se trouvait à l’extrémité de la propriété.Elle m’attendait mi-assise mi-allongée sur la barque .Etonnamment une fois encore pour un tel endroit, elle portait une robe de soirée de satin bleu largement fendue du côté droit qu’elle avait légèrement remontée, sans doute pour s’asseoir, à tel point que je voyais le plis délicieux de son aine. Elle ne semblait pas porter de culotte. Ses pieds charmants au galbe délicat et fin, parés d’un subtil vernis cerise, étaient habillés à peine de légères sandales assorties à la robe. En fait ces talons hauts et ces sangles fines qui enserraient ses chevilles graciles complétaient merveilleusement le tableau somptueux et terriblement sexy des longues jambes étendues de ma ravissante bourgeoise.La barque était suffisamment grande pour ...
... qu’à son invitation je puisse m’y installer, sans qu’elle eu besoin d’accomplir un autre mouvement que celui de son regard étincelant qui m’enveloppait de son attention, et que celui de son léger sourire.Ses épaules aux arrondis parfaits n’étaient recouvertes que de fines bretelles transparentes.Cette fois encore, je ne l’avais jamais trouvée aussi désirable, un peu comme si à chaque rencontre j’avais l’impression de la voir pour la première fois. En même il y avait toute cette complicité presque a****le entre nous, où la parole avait si peu de place.Il suffit ainsi d’un seul geste de sa part pour que je comprenne qu’elle désirait que je lui caresse les cuisses.Je me penchais légèrement en avant tout en commençant à l’effleurer en mouvements circulaires avec la paume des mains . Je m’occupais tout d’abord de ses tendres mollets, puis cajolais ses genoux avant de dévoiler doucement ses cuisses fascinantes et si douces.En remontant ainsi jusqu’à ses hanches, je découvris que son sexe n’était pas nu , mais offrait sa splendeur à mon regard , moulé qu’il était dans un tissus blanc tendu , pénétrant dans sa fente d’amour.C’est alors que d’elle même elle dégagea le haut de sa robe pour révéler qu’elle portait en dessous un charmant maillot de bain une-pièce blanc qui la moulait entièrement du haut de ses seins jusqu’à l’entrecuisse.Elle se dégagea totalement de l’étoffe sombre ne gardant plus sur elle que le maillot moulant et les chaussures à talon haut.Elle était face à moi debout, ...