1. NASSIMA ET SES FILLES Première partie NASSIMA


    Datte: 24/06/2018, Catégories: Humour, Inceste / Tabou

    J’ai connu Nassima sur son lieu de travail, à l’inspection des impôts. Comme cela arrive trop souvent avec le fisc (probablement la moins bien organisée de toutes les administrations publiques et certainement la plus imbue de ses prérogatives régaliennes) ma société avait été rendue destinataire d’un avis de pénalités pour des déclarations fiscales et des règlements non effectués. Ce n’était bien sûr pas le cas, mais il fallait se déplacer jusqu’aux bureaux de l’inspection avec les preuves que tout avait été fait à l’intérieur des délais réglementaires.Généralement, ce genre de démarches était effectué par Soraya, mon assistante qui s’en acquittait admirablement. Elle était à l’aise dans les dédales tortueux de l’administration, contrairement à moi. Je n’avais jamais eu d’atomes crochus avec les administrations en général et le fisc en particulier. Soraya s’était absentée pour la semaine, me laissant sur les bras les problèmes administratifs en suspens avec, évidemment, ce fameux dossier fiscal qu’il fallait traiter. Il faut dire que comme à son habitude, Soraya m’avait mâché le travail en préparant de manière claire et synthétique le dossier. Je n’avais qu’à le montrer tel quel à l’inspecteur, il n’y trouvera absolument rien à redire, m’affirma-t-elle.Ce matin là donc, le dossier dans ma serviette, je me rendis à l’inspection des impôts, un peu inquiet tout de même. J’attendis mon tour pendant une heure et je fus reçu par l’inspecteur, dans son petit bureau. Tout me ...
    ... semblait triste et terne dans ces bureaux, y compris la salle d’attente où tous ceux qui étaient là, étaient silencieux et avaient l’air inquiet et parfois énervés. L’inspecteur me reçut debout derrière son bureau (aimablement, il faut bien le reconnaître) me disant qu’il n’avait pas plus de cinq minutes à ma consacrer, devant se rendre à une importante réunion, chez le directeur. Je lui exposai donc les faits rapidement, lui montrai quelques documents, pour étayer ce que je disais et attendis son verdict.- Il semble bien qu’il s’agit là d’une erreur de nos services, fit-il avec le sourire. Toutefois, il faudra contrôler tout cela dans le détail ; cela risque de prendre un peu de temps. Je vais vous confier à mon adjointe qui vérifiera les documents avec vous et vous remettra un rectificatif à l’avis de pénalités. Suivez-moi.Je le suivis dans un bureau à côté et me présenta à son adjointe. « Madame X », fit-il. Elle me fit un large sourire, et tendit sa main droite pour une poignée franche et ferme. Son chef lui expliqua en quelques mots mon cas, insistant sur la nécessité d’éplucher tout le dossier et sur la remise, le cas échéant, d’un rectificatif. Il s’en alla tout de suite après en s’excusant.Dès que j’avais franchi la porte du bureau, j’ai été frappé par l’ambiance qui y régnait. Absolument rien de la tristesse environnante. Tout était lumineux : la fenêtre était grande ouverte ; des reproductions de tableaux représentant des fleurs aux couleurs éclatantes étaient accrochées ...
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