Nadine, la vengeance d'une maman (14)
Datte: 24/06/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
Nous retournons sur la plage en longeant les rochers, notre arrivée ne passe pas inaperçue. Maman essaye de conserver un semblant de dignité, mais sa nervosité en révèle bien plus qu’elle ne voudrait sur ce qu’il s’est passé. Elle s’allonge sur sa serviette de bain, offre soncorps au soleil sans se préoccuper de moi ; elle me fait ouvertement la gueule. Je n’ai pas l’intention de me disputer avec elle, et encore moins de me justifier en public ; je la confronterai bien assez tôt. Je la laisse à sa rancœur et retourne me baigner. Je nage vers le large, fais plusieurs brasses, un crawl acharné ; je ne m’arrête que quand je suis essoufflé. Je pédale doucement sur place pour rester à la surface. L’endroit où nous avons échoué - l’enclave où je l’ai baisée debout - m’apparaît dans sa beauté sauvage préservée. Seule construction dans les environs, la maison surplombe les lieux de sa masse imposante, bâtisse majestueuse défiant l’horizon. Bercé par le clapotement, sous un soleil de plomb, je fais la planche… Qu’est-ce que j’ai agi égoïstement, quand même ! J’ai traité Maman comme une moins que rien, un objet sexuel dont je peux disposer pour assouvir mes plus vils instincts : il n’est pas étonnant qu’elle m’en veuille, qu’elle soit fâchée. Pourtant je ne regrette rien : ni le danger de nous faire surprendre, et encore moins son regard implorant quand elle a réalisé ce que je m’apprêtais à lui faire. A quoi pense-t-elle en ce moment, seule sur la plage, rôtie par le soleil, son amour ...
... propre mis à mal ? M’en veut-elle encore ? Comme je suis suffisamment éloigné du rivage, que personne ne peut m’entendre, je crie à pleins poumons : « Oh, Maman…ma chère petite Maman, je te baise n’importe où et n’importe quand maintenant ! » Je m’enivre du plaisir sacrilège de faire coexister « Maman » et « je te baise » dans la même phrase… Je regagne la plage et la découvre endormie en plein soleil. Malgré mes recommandations, elle n’a pas jugé utile de s’enduire de la crème à fort indice de protection que nous avions achetée en prévision. J’en connais une qui va le regretter amèrement ! Elle transpire par tous les pores de sa peau, elle cuit sur place. Je la laisse mijoter dans son jus et me dirige vers une des paillotes qui bordent les environs. Je m’installe en terrasse, à l’ombre d’un parasol, et commande un coca. Alors que je sirote tranquillement mon soda bien frais, je m’aperçois que quelqu’un m’observe. C’est un garçon qui doit avoir plus ou moins mon âge. Il reste en retrait et me regarde fixement, comme s’il voulait me dire quelque chose d’important mais qu’il n’osait pas faire le premier pas. Je l’interroge du regard et il s’approche. — Salut, je te dérange pas, au moins ? Tu permets ? Je me demande ce qu’il me veut, et, surtout, pourquoi il paraît aussi nerveux. Je l’invite à s’asseoir en face de moi. — On se connaît ? — Non, c’est pas ça ! Je vous ai vus tout à l’heure… vous étiez dans la crique… en dessous de chez moi… Maintenant qu’il m’a fait comprendre où ...