1. jcr_33 et mir_69


    Datte: 24/06/2018, Catégories: fh, 2couples, prost, fête, Masturbation intermast, facial, Oral pénétratio, entrecoup,

    ... ses muscles faciaux. Je vois son cou se tendre et sa jugulaire bondir, comme si elle allait exploser. Je vois ses mains s’agiter dans des mouvements désespérés, à la vitesse de la lumière, avec leurs muscles en vibration, leurs nervures saillantes, leurs ongles au blanc laiteux. Je vois ses bras s’alourdir et refléter un certain état de fatigue. Là, elle est à la limite de me faire mal, mais ce n’est pas désagréable. Comme toujours, elle me mène au bout. C’est ainsi qu’elle m’achève, au bout d’une longue branlette avec sa main droite, où je sens ma queue enduite par ses crachats continus se dissiper sous la chaleur qui monte, et ses frottements lourds et serrés sans fin. « Oh, salope, je jouis», je crie trois fois, cambré, tout raide. Enfin voilà mon jus, ma crème, ma semence bénite, source de tout plaisir et de toute fertilité, qui jaillit, jaune et visqueuse, chaude comme une coulée de l’enfer, dans une longue série de jets discontinus. C’est Sherry qui guide le tuyau, arrosant tantôt sa figure, tantôt ses seins, car moi je n’y peux plus rien, je ne pense qu’à ce plaisir extrême qui m’assaille et qui me vide. Il y a du foutre partout, il y a même des petites gouttelettes accrochées aux pointes de ses cils fardés. Lorsque plus rien ne sort, je pense que c’est fini, mais Sherry ne l’entend pas de cette oreille. Elle reprend la carotte dans sa bouche et l’introduit toute entière, il est vrai que sa tâche doit être plus facile, maintenant qu’elle est flasque et vidée, ...
    ... néanmoins elle est toujours aussi longue et aussi gonflée. Puis, la pinçant à la base, entre l’index et le majeur de sa droite, elle remonte doucement et la bouche et la main, tout en serrant et en maintenant la pression de sa pincette. C’est une manière de la vider une fois pour toute, de l’assécher et de recueillir ses dernières gouttes. Une fois arrivée au bout, elle me libère d’un mouvement bref et sec, accompagné d’un petit claquement des lèvres, puis elle penche légèrement sa tête, bascule d’un ample balancement tous ses cheveux derrière elle, me regarde droit dans les yeux avec un grand sourire. Elle sort alors sa grande langue goulue sur laquelle il y a mes dernières gouttes de sperme, une espèce de mousse. Ses yeux sont lourds et graves, pleins de lueurs de satisfaction, je dirais même d’admiration. Tout en me fixant, elle rentre la langue, referme les lèvres et fait un petit mouvement de la tête en arrière. Je vois alors une onde qui prend son origine au menton, en dessous de la bouche, puis qui se propage le long de la trachée pour se dissiper entre les clavicules, à la naissance de la gorge. Elle a avalé. Avec ses mains, elle enduit ses seins et son visage du sperme qui s’y était accroché, avec des petits mouvements lents et tournoyants, comme les plus fines caresses, une sorte de perfection. Puis elle introduit les doigts un par un dans sa bouche, elle suce chacun jusqu’au bout des ongles vernis puis elle avale ce qu’elle peut y récolter, avec cette même minuscule onde ...