Cousine Charlotte - Histoires de Sexe

Cousine Charlotte

... ne faudrait pas que le plombier vienne réparer une fuite, sinon je le mettrais à travailler sur moi… Je mouille comme ce n’est pas possible…— Tu veux peut-être aller t’allonger dans ta chambre… Tu as dû prendre trop de soleil… fit Charlotte, gênée.— Non, au contraire. J’ai toujours eu ce fantasme, jouir sous le soleil. Tu as déjà essayé ?— Oh non… enfin… j’y ai pensé…— Et ?— Je n’en ai pas eu le courage. Le risque d’être surprise, d’être aperçue sans le savoir…— Mais il n’y a aucun voisin en vue !— Non, mais… les enfants… ou même Fabien, que penserait-il s’il me trouvait en train de me caresser au bord de la piscine ? Élodie ne répondit pas. Fabien aurait probablement apprécié ce geste de sa femme qui lui aurait ainsi démontré qu’elle savait parfois se libérer, et cela aurait probablement changé le cours de leur histoire. « Pas mes oignons ! » pensa Élodie. Puis elle lança à voix haute : — Eh bien, profitons-en ! Personne ne pourra nous surprendre si l’autre fait le guet. Si tu veux, vas-y, fais-le, je te préviendrai si quelqu’un arrive.— Ah non ! Pas devant toi…— Ça te gêne ?— Et comment ! Pas toi ? Élodie laissa le silence régner quelques secondes. — En fait, non ! finit-elle par affirmer. Alors ses mains s’emparèrent de ses seins, les caressèrent, les pressèrent, en agacèrent les tétons. Quelques secondes plus tard, ses doigts se dirigèrent vers la fourche de ses cuisses fuselées, vinrent se poser sur la motte presque glabre, pressèrent, appuyèrent… Un petit gémissement ...

... sortit de sa gorge. — Mais… tu ne vas quand même pas te… caresser devant moi ? fit la voix choquée de Charlotte.— Si tu ne veux pas regarder, ça ne me dérange pas. Mais surveille les environs, répondit Élodie d’une voix rauque.— Ah non ! Je rentre ! dit Charlotte en se dressant et en saisissant sa serviette de bain.— Je ne vais pas m’arrêter ! Et si tu ne fais pas le guet, je serai surprise soit par les gosses, et ça serait tragique, soit par ton mari… Charlotte parut réfléchir un instant. — Je surveille l’entrée. Mais fais vite ! Elle fit deux pas, se posta près du portail de sécurité de la piscine, le regard tourné vers l’allée cavalière qui menait de la route à la maison. Derrière elle, elle entendit la respiration d’Élodie s’accélérer. Elle ressentit une petite envie de se retourner, de regarder la femme en pleine activité sexuelle. Mais elle résista… Elle aperçut soudain au loin, sur la route que l’on pouvait voir grimper depuis le village voisin, un éclat de soleil sur une carrosserie. À la forme et à la couleur elle reconnut bientôt le 4x4 de Fabien, celui qu’il conservait dans le garage du mas pour ses explorations de la région. — Ils arrivent, fit Charlotte à haute voix.— Combien de temps ? souffla Élodie entre deux gémissements.— Trois minutes…— Ça suffira… Je suis chaude, j’y suis presque ! Elle gémissait maintenant à haute voix, laissant échapper des commentaires sur le plaisir qu’elle ressentait. — Une minute pour la grille du parc… insista Charlotte d’une voix un ...