1. Cousine Charlotte


    Datte: 24/06/2018, Catégories: fh, ff, couple, Inceste / Tabou piscine, amour, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation facial, pénétratio, init,

    ... cuisses. Dans la pénombre, il sentit le corps de sa femme se coller au sien. Elle posa sa tête sur l’épaule de l’homme. Elle attendit quelques secondes, cherchant à percevoir, sur son ventre, une quelconque réaction du sexe masculin. Rien. Elle recula, se détourna. — Je suis désolé, fit l’homme. Je ne sais pas ce qui se passe.— Peut-être trop d’activité ailleurs ? répondit Charlotte sur un ton acide.— Mais non, je te le jure… Le ton de l’homme était franc. « Il ne ment pas, pensa Charlotte. C’est dingue… » Un peu vexée, presque humiliée par ce manque d’intérêt pour son corps, elle ouvrit rapidement un tiroir de commode, enfila une culotte puis une chemise de nuit légère. Lorsque Fabien revint de la salle-de-bain, elle était couchée, tournée vers l’extérieur du lit et semblait dormir. Il se pencha sur elle, parut vouloir déposer un baiser sur son front, puis recula, ne voulant l’éveiller. Il se coucha à son tour. De son côté, Charlotte sentit une larme glisser le long de sa joue et se perdre dans l’oreiller. ****** Le lendemain, au petit-déjeuner, les trois adultes avaient les traits tirés. Le soleil avait fait disparaître les méchants nuages de la veille et la garrigue environnante grésillait sous les rayons du matin. — Un programme pour la journée ? fit Fabien.— Je pensais aller faire des courses entre filles, répondit Charlotte. Qu’en penses-tu, Élodie ?— Ah… euh… pourquoi pas ? répondit celle-ci, étonnée par cette invitation. On emmène Annette et on laisse les garçons ?— ...
    ... Mais non, voyons, Sa Majesté ne pourrait survivre une journée ni même une matinée sans sa cour…— Alors… d’accord. Charlotte se leva brusquement de table. — On part dès que tu es prête ! annonça-t-elle. Fabien, à toi la vaisselle et le rangement. L’homme haussa un peu les épaules. Il échangea un regard avec Élodie. « Qu’est-ce que ça veut dire ? » demandait son expression. D’une petite grimace, Élodie répondit, haussant imperceptiblement les épaules, qu’elle n’en savait rien ! Moins de dix minutes plus tard, les deux femmes roulaient dans le 4x4 vers la plus proche ville voisine, distante d’une dizaine de kilomètres. Dans un profond silence. — Tu sais quoi ? fit Élodie.— Non ?— Il est neuf heures moins le quart. Les commerces n’ouvrent pas avant neuf heures et demie, dix heures… Qu’est-ce que nous allons faire dans l’intervalle ?— Ah… je n’avais pas pensé à ça… La voiture vint se garer bientôt sur la place centrale de la ville. Élodie avait raison : la majorité des commerces était encore fermée à l’exception du bar-tabac-presse. — On va prendre un café… fit Charlotte. Deux cafés par personne plus tard, le silence régnait toujours entre les deux femmes. Élodie sentait bien que Charlotte avait quelque chose à lui dire et n’y arrivait pas. À plusieurs moments, elle sentit que l’épouse de Fabien allait attaquer le sujet, mais comme un fait exprès le garçon s’était approché, un nouveau client s’était installé à côté, un verre avait échappé au patron et s’était brisé dans son évier… ...
«12...678...12»