1. Révolte d'une épouse soumise


    Datte: 25/06/2018, Catégories: f, fh, ff, grossexe, humilié(e), vengeance, intermast, Oral 69, fgode, pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, confession, consoler,

    ... Béa, les deux femmes s’embrassèrent dans la cour et se promirent de se revoir la semaine suivante. III – Abandon de domicile Sarah rentra directement chez elle. Lorsqu’elle arriva, il était 19 h 30 ; Pierre serait là dans une heure. Elle sortit un plat surgelé du congélateur qu’elle mit directement dans le four. Puis, se sentant coupable d’avoir été absente toute la journée, elle décida de ranger la maison, de faire le lit et de passer l’aspirateur. Pierre arriva juste au moment où elle rangeait l’aspirateur. Comme chaque soir, il semblait fatigué. — Bonsoir, lui adressa-t-il— Bonsoir.— Tu es toute belle ce soir, remarqua-t-il, tu es sortie ?— Oui, je te l’ai dit ce matin, je suis allée chez Béa. Pierre ne releva pas et alla s’affaler sur le divan du salon, devant la télé. Sarah se dit que, décidément, les dialogues entre son mari et elle-même, étaient d’une monotonie… Elle alla s’asseoir à son tour sur le fauteuil en face de lui et le questionna : — Tu as eu une journée pénible ?— Ouai, toujours ce connard qui nous sert de chef et qui emmerde les commerciaux.— Béa m’a emmenée dans un institut de beauté. Tu aimes mon maquillage ? questionna Sarah se gardant bien de dire que la beauté n’était pas la principale activité de cet institut.— Oui, c’est pas mal, dit Pierre sans quitter l’écran des yeux. Sarah comprit que son mari n’en avait rien à faire. Elle aurait pu se déguiser en clown pour avoir la même réponse. — J’ai l’impression que tu ne t’intéresses plus à moi ?— Mais, si ...
    ... répondit Pierre d’une voix absente. En colère, Sarah reprit : — Ça fait combien de semaines que tu ne m’as pas touchée ? Tu as une maîtresse que tu vois en dehors ? Pierre éleva la voix : — On ne peut pas être fatigué dans cette maison. Cette idée de maîtresse, c’est ta copine qui t’as mis ça dans la tête ?— Laisse Béa en dehors de ça, ce n’est pas elle qui est en cause, c’est toi. Tu n’agis plus en homme, quand tu es à la maison tu es avachi devant cet écran, répondit Sarah en pleurs.— Tu es peut-être devenu impuissant ? enchaîna-t-elle— Tu veux que je m’occupe de toi ? lança-t-il en se levant brusquement. Il saisit Sarah par le bras et la tira dans la chambre. — Lâche-moi, tu me fais mal ! Pour toute réponse, il la poussa sur le lit, puis lui arracha son pantalon. Elle tenta de se relever, mais il la gifla si violemment que sa tête alla heurter le bord du lit malgré la présence du matelas. Quittant son pantalon à son tour, il s’allongea sur sa femme à demi-inconsciente. — Je suis impuissant, lui cria-t-il dans l’oreille. Il essayait de recouvrir la bouche de Sarah avec la sienne, mais elle tournait la tête. Avec sa main libre, il lui malaxait fermement les seins, en lui faisant mal. Il lui écarta de force les jambes avec ses genoux et la pénétra sans autre forme de procès. Sarah ressentit une brûlure au niveau du vagin et préféra arrêter de se débattre. Elle se dit qu’il valait mieux le laisser terminer. La conclusion ne fut pas longue à venir, quelques mouvements de bassin ...
«12...101112...33»