Révolte d'une épouse soumise
Datte: 25/06/2018,
Catégories:
f,
fh,
ff,
grossexe,
humilié(e),
vengeance,
intermast,
Oral
69,
fgode,
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
confession,
consoler,
... deux verges dans la bouche en même temps. Sarah qui était gênée au départ de surprendre son amie dans une situation pareille commençait à trouver cela excitant. De plus, les deux hommes étaient virils à souhait et devaient sûrement faire de la musculation. Béa demanda à l’un de ces deux partenaires de lui bouffer la chatte. Pendant qu’elle continuait sa fellation, le deuxième homme lui léchait la vulve. Il introduisait ses doigts dans le vagin, et ses coups de langues allaient jusqu’à l’anus. Sarah était excitée par le film et entreprit de se caresser, mais c’était oublier les ecchymoses de la veille qui lui faisaient mal. Elle s’interrompit frustrée sur le coup et se fit une raison en pensant qu’elle n’avait pas le droit de regarder ce film. Elle éteignit le téléviseur et décida de s’occuper des différents documents administratifs. Cela l’occupa bien deux heures jusqu’au retour de Béa. — Je n’ai pas été trop longue ? lui demanda cette dernière. Sarah lui répondit que non, qu’après s’être réveillée, elle avait déjeuné, regardé la télé en omettant de préciser le visionnage du film amateur, puis qu’elle s’était mise à faire des démarches administratives jusqu’à ce que Béa arrive. Elle en profita pour lui demander si ça ne la dérangeait pas qu’elle utilise son adresse pour ses correspondances. Béa lui répondit que non et que justement pour ne pas qu’elle se sente dépendante, elle avait pensé rouvrir la petite maison qu’elle avait au fond de son jardin et qu’elle utilisait ...
... généralement pour ses invités occasionnels. « Comme les deux playboys du film !» pensa Sarah. — Merci c’est vraiment sympa de ta part, je ne sais comment te remercier. Je te paierai un loyer mensuel, répondit Sarah— Ah non, je n’ai pas besoin d’argent, j’en ai déjà suffisamment avec mes droits d’auteur et si je fais ça c’est que je te considère comme ma propre famille. Sarah ne put rien répondre, si ce n’est de s’approcher de son amie et de la serrer dans ses bras. En lui offrant le logement, Béa résolvait de fait la moitié de ses problèmes. De plus cette maisonnette séparée de l’habitation principale permettait à Sarah d’être à la fois proche de son amie et de conserver à chacune un espace de liberté. — Allez, viens visiter ta nouvelle demeure, lança Béa en se détachant des bras de son amie. Les deux jeunes femmes traversèrent le jardin en fleurs et s’arrêtèrent devant une petite maisonnette en pierre. Béa ouvrit la porte et précéda Sarah dans la pièce principale. Sarah resta un instant bouche bée. Là où elle s’attendait à trouver un ameublement de seconde main, tout était neuf. Plancher en lames de chêne, salon design, écran plat, le tout dans des murs enduits à la chaux. Au fond de la pièce, on distinguait une cuisine américaine. La chambre en mezzanine était très grande, toujours meublée avec soin et donnant sur une grande salle de bain. Sarah était consciente qu’avec son seul salaire d’infirmière, elle n’aurait pu prétendre à un logement comme celui-ci. — Tu ne veux pas que je ...