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La maîtresse de mon, mari
Datte: 23/07/2017, Catégories: Partouze / Groupe
... 16 heures. Je l’accueillais donc par un baiser sur la bouche. A ma grande surprise elle y répondait: nos langue commençaient la danse de tout les amants. Sans perdre de temps, nous allions nous coucher. Je la déshabillait: elle était nue sous sa robe. Elle m’en faisait autant, j’étais dans la même tenue. Nous nous sommes encore embrassées avec plus de vigueur que la première fois. Collées contre l’autre nous sentions nos seins durcir contre les autres. Elle me caressait les fesses pour passer un doigt vers mon anus. Je la laissais faire parce que j’aime quand on me fait ça. Moi, je ne faisais que chercher son bouton. Elle écartait les jambes pour que je trouve facilement son clitoris. Je la branlais comme pour moi. De son coté, elle avait trouvé mon cul et y entrait deux doigts. Nos mouvement étaient coordonnées. Notre jouissance l’était aussi. Nous nous sommes couchées sur le lit, sans même prendre le temps de le défaire. Nous nous sommes embrassées avant de continuer nos caresses sur le seins et nos mains descendaient plus bas. Cette fois nous nous sommes encore branlées. Après cet orgasme nous nous mettions en 69. Nos langues s’occupaient du con de l’autre. C’est elle qui a recommencé avec deux doigts dans le cul. J’y répondait la première. J’étais dessous elle: nous avons changé de place. Nous jouissions encore quand mon mari est arrivé. Quand il m’a vu ainsi avec quel’ autre fille il en devenait tout rouge, par contre quand il s’est aperçu qui était la femme à mes ...
... cotés, il est carrément devenu violet. Nous faisions celles qui ne l’avaient pas vue, surtout que notre amante jouissait à cet instant. Pas trop rancunière nous l’invitions à venir baiser avec nous. L’excitation faisait place à la jalousie. Nous le regardions quand il était nu, avec sa bite au garde à vous. Nous le connaissions assez pour savoir qu’ il était parti pour une longue période d’érection: il pourrai nous baiser toutes les deux. Pour bien faire remarquer que j’étais au courant de leur relation, c’est notre commune amante qui l’attirait vers elle: elle était encore sous moi. Je laissais ma place. Il pouvais entrer dans sa maîtresses sans difficultés tellement elle était mouillée pas sa cyprine et ma salive. Il la baisait comme si je n’étais pas là. Notre amie, heureusement pour moi, ne m’avais pas oubliée. Elle posait une main sur mon bas ventre à la recherche mal commode de mon bouton. Quand elle le trouvait elle commençais une masturbation pas ordinaire: elle avait le vagin rempli de la bite de mon mari et trouvait le moyen de me donner du plaisir. Elle arrivait à me faire partir une ou deux fois. Enfin il jouissait de là ou avant j’avais donner des orgasmes. Quand il sortait du vagin de sa maîtresse sa bite avait encore belle allure. Je me mettais en levrette: j’avais envie de me faire enculer. Pourtant je demandais à mon amie de passer dessous pour me sucer à la fois. C’est elle qui guidait le pine de mon mari vers mon cul. Quand il était à fond, elle a mit sa langue ...