Comme quoi, l'auto-stop... - Histoires de Sexe

Comme quoi, l'auto-stop...

... qui annonçait qu'elle était bientôt bourrée, pas un mot ne serait échangé. Pour couper court à la gêne qui semble s'installer, Emma se lève, enclenche une musique douce et tamise les lumières. Elle se rassoit, ou plutôt se laisse tomber, à côté d'Alex, et le regarde en souriant légèrement.C'est le moment que choisi Jean pour se lever et inviter sa belle à danser. Il n'y a que peu de place, mais qu'à cela ne tienne, ils se contentent de rester debout l'un en face de l'autre, ondulant des hanches, se caressant et s'embrassant mutuellement. Les attouchements qu'ils se prodiguent sont emprunts de sensualité. Sophie, dos au canapé, ne voit pas ce qui se passe derrière elle. Jean, lui, remarque bien que la respiration d'Emma s'est accélérée et que les corps se sont rapprochés, que les mains se sont posées sur les cuisses. La jeune fille et Alex semblent hypnotisés par les fesses de Sophie qui ondulent doucement au rythme de la musique. Jean en profite alors pour remonter la robe de sa femme sur ses reins, dévoilant les fesses magnifiques. Il les caresse, les pétrit, sous des regards fiévreux d'envie. Sophie apprécie la caresse et se cambre, offrant aux regards son intimité que son homme dévoile. Leurs bouches se soudent et elle gémit. Les caresses de Jean la rende folle et elle lui susurre à l'oreille :tu m'excites là...- mmm... toi aussi tu m'excites... t'es toute chaude...- ouiii... j'suis chaude... j'ai envie de ta queue... j'ai envie de sucer ta queue...- prend là... elle ...

... est à toi...- j'ose pas... j'suis excitée mais j'ose pas...- suce moi la queue ma chérie... suce moi...Sophie se met à gémir plus fortement, et embrasse Jean. Ses baisers passent des lèvres au menton, puis au cou, au torse. Elle continue ses baisers jusqu'à se retrouver à genoux, le visage devant le sexe de son homme. Elle le regarde et il l'encourage d'un mouvement de tête, accompagnant son geste d'une caresse de la main dans ses longs cheveux. Fébrilement, elle défait les boutons du bermuda et laisse tomber celui-ci, laissant jaillir une bite bien raide. Avec un air révérencieux, elle prend le bâton de chair de ses deux mains, tire la peau du prépuce pour bien dégager le nœud gonflé, et vient poser un baiser humide sur le bout du gland. La douceur de la peau satinée tire un gémissement à Sophie, qui ne peut s'empêcher, par de petits mouvements rapides d'allers et retours, de prendre le gland entièrement dans sa bouche, laissant sa main caresser la colonne de chair gonflée.Les bruits de succion et les grognements de satisfaction et d'impatience émis par Sophie tirent Emma de ses songes. Elle s'arrache aux mains qui la retiennent, l'une aux épaules, l'autre qui avait déjà atteint la chair tendre de ses cuisses. Assise sur ses talons, Sophie lèche avec passion les bourses gonflées de son homme, laissant la queue durcie battre sur sa joue. Emma s'installe à côté d'elle, sans dire un mot, et regarde avec admiration le travail buccal de sa nouvelle amie. Elle ne peut s'empêcher ...