Edouard et David
Datte: 25/06/2018,
Catégories:
Hardcore,
... Je lui avais fait un geste de continuer et tendu mes bras vers Edouard :- Viens ! Rejoins-nous !La tente était petite, nos peaux humides collaient les unes aux autres, l’air sentait le sel, le iode, la transpiration et le sexe. Pendant de longues minutes, Edouard m’a caressé les seins sans laisser un seul moment de me fourguer sa langue dans ma bouche… J’avais du mal à respirer, j’étouffais et je jouissais ! Première et dernière fois dans ma vie que je atteignais l’orgasme par l’action simultanée de deux langues différentes. David, surexcité, avait arrêté son cunnilingus, avait soulevé mes hanches et me pénétra abruptement. Edouard, s’est mis à genoux, et j’ai senti son gland enflé tout près de ma bouche. Je l’ai englouti et lui ai sucé la queue avec passion. Je sentais comme on me pinçait les tétons mais je suis incapable de dire si c’était l’un ou l’autre.Mon deuxième orgasme était sur le point d’arriver, quand David sortit de moi aussi abruptement qu’il y était entré et cria :- Je jouiiiiiisssss !!!Mais, à la place de le faire dans moi –chose qui aurait provoqué sans doute ma jouissance-, il s’est approché de mes seins et il a éjaculé sur moi, mais avec une telle force que le premier jet, je l’ai senti carrément sur ma bouche, occupée et pleine avec la bite de son ami. Avec ma langue, j’ai cueilli et savouré un peu de son sperme qui avait éclaboussé la verge d’Edouard.- Putain, mec ! – celui-ci s’est exclamé, en s’écartant de moi.La bouche grande ouverte, la langue comme ...
... tapis de réception, j’ai accueilli les suivantes décharges du foutre de mon petit ami. C’était au tour d’Edouard, de faire une tête toute drôle !David s’est couché de côté, dans un coin de la tente, et il s’est mis à zieuter comme son ami me prenait, dans la même position du missionnaire, avec une cadence beaucoup plus mesurée, plus maitrisée, plus profonde. Je l’avais ceinturé avec mes cuisses, en refermant-les avec mes pieds derrière son dos, à hauteur de ses reins. Comme une machine à coudre, nos bassins se sont synchronisés et des spasmes de plaisir exquis m’ont parcouru toute entière.- Putain, Sandra ! Tu pisses ou quoi, là ?- Non… Mmm… Aaaahhh… Je … je… jouiiiiii… ssss… Aaaahhh- Merdeeeee ! Moi, aussiiiiii !!!J’ai retourné la tête, à moitié dans les vaps, et j’ai vu comme David me regardait. C’était un regard mélange d’excitation et de perplexité, d’admiration et de jalousie… Je le reverrais d’autres fois dans ma vie, ce regard, propre aux hommes qui luttent entre leur besoin de propriété exclusive de leurs femmes et l’envie de les voir se donner à d’autres devant leurs yeux. Nous, les femmes, ne sommes pas comme ça… Au moins, moi. Quand j’ai vu mon homme avec une autre femme, quand j’ai vu qu’il prenait son pied, eh, ben ! J’étais contente… Je suis comme ça ! En tout cas, David il nos regardait et pris il se touchait ostensiblement, son sexe encore tout mou. Je lui ai demandé de s’approcher et j’ai saisi sa bite dans ma main. Edouard et sorti de moi. Ç’a fait un léger « ...