1. Le Mariage de Gregor


    Datte: 26/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... Comtesse savait exactement comment amener Gregor à cet état-là, dans cette cage, comment le dresser. Elle allait en faire son esclave....Détruire définitivement toute possibilité d’orgueil chez Gregor était son but, plus il serait humilié et plus il deviendrait esclave. Pour la Comtesse le chemin qu’elle traçait à Gregor était clair, d’abord il y avait la déférence, ensuite venait l’abaissement, puis la soumission et enfin l’esclavage.Lorsqu’un homme a suffisamment été rabaissé, il ne peut plus se relever. Lorsque c’est le fait d’une très belle femme qu’il désire alors cela s’imprègne en lui comme une marque indélébile. Que des circonstances lui fassent oublier, et la femme n’a qu’à claquer des doigts pour lui rappeler ce qu’il est. C’est pareil au réflexe de Pavlov où l’on apprend aux chiens, les vrais, à saliver à la seule vue d’une lumière rouge, parce qu’on a allumé une lumière rouge à chaque fois qu’ils mangeaient. Toutes les Dominas le savent. Le chien salive lorsque la lumière rouge s’allume, l’esclave s’abaisse lorsque sa Maîtresse claque des doigts....La Comtesse tenait le petit carton entre ses mains gantées et jouaient avec après l’avoir lu. Le Britannique toujours debout à côté attendait un signe de sa part, un mot, quelque chose. Mais la Comtesse restait silencieuse les yeux fixés sur le carton.Un idiot ne la connaissant pas en aurait déduit qu’elle cherchait quelque chose à dire ou peut-être même ses mots. Ç’aurait été mal la connaître. La Comtesse savourait ...
    ... tout simplement l’instant, le plaisir de faire rester debout ce Lord au pied de sa table.Elle pensait à son esclave attaché par des menottes et assis à même le sol dans l’appartement, sa queue toute dure et gonflée dressée entre ses jambes. Quel plaisir pervers c’était là. Le Britannique attendait toujours. La Comtesse déchira le petit carton en deux et le rendit au Lord sans même le regarder.Ce dernier fut troublé, se sentant méprisé par cette si belle femme il éprouva à la fois de l’humiliation et de la colère. Il reprit les deux petits bouts de carton d’un geste sec et fit un pas pour s’en aller quand la Comtesse l’interpella.— À ce moment même monsieur, qu’avez-vous ressenti ?Il ne répondit rien et s’en alla en haussant les épaules. Qu’importe. La Comtesse connaissait mieux la réponse qu’il ne la connaissait lui-même. Ces hommes-là ne font pas de bons serviteurs, ils fatiguent leurs Maîtresses à force de les obliger à constamment les éduquer. Bien sûr il existe un plaisir certain à l’éducation de tels mâles, le plaisir de la conquête et de la victoire sur l’a****l rétif. Mais il y a des choses qu’on ne peut jamais vraiment leur apprendre.Gregor, lui, était attaché avec des menottes au pied de son lit pendant qu’elle prenait son apéritif, et il y resterait toute sa vie si elle le décidait. Et parce que cet affreux anglais venait de l’importuner Gregor serait sévèrement puni quand elle remonterait.Le monde est comme il est se dit la Comtesse. On peut être un Lord aussi futé ...