Les amis de Jean-Claude (3)
Datte: 23/07/2017,
Catégories:
Gay
... remercie chaleureusement avec de grosses pelles expertes. A son âge, il ne peux pas jouer les prolongations, et décide de dormir tout seul, et de nous prêter la chambre d’amis. Il y a une armoire avec de grandes glaces, et on va s’exhiber devant. On a remis nos petites culottes, on est toute mignonnes, et on va jouer les vicieuses qui aiment la bite. Il y a un radio cassette, on met des slows, et on va danser collés l’un à l’autre. On se frotte, on se caresse, on s’embrasse, on échange des mots crus et orduriers, on se dit notre envie de l’autre, de s’offrir à lui plus que de le posséder. On rebande inévitablement, nos culottes sont vite arrachées, et on se suce, on s’encule, à tour de rôle devant le miroir. On est prêt de jouir, et il s’agenouille pour que j’éjacule sur son visage. Je me branle énergiquement, et je gicle sur sa gueule. C’est à son tour de décharger sur mon museau. On se bouffe la poire, on se roule des patins, on se nettoie. On se couche. Je suis à la retraite, et m’en fout de passer une nuit blanche. Philippe bosse, est routier, et il faut qu’il soit en forme au petit matin. Je lui laisse donc le choix de passer une nuit calme ou agitée. Trois heures du matin, je suis réveillé par une sensation très agréable: Philippe me taille une pipe. Je cherche sa position à l’aveugle, puis me place pour un 69 dans le noir. J’imagine sa bite, sans la voir, tout comme il doit imaginer la mienne. On se pompe, on s’attend, on jouit au même instant, on sirote nos semences ...
... chaudes et fournies. On se roule des pelles, on se dit qu’on s’aime, on se rendort. Cinq heures trente, le réveil sonne. Je lui offre ma bouche pour une baise éclair. Il me pilonne la gueule en gorge profonde, et me remplit de sa sauce que j’avale. Il se douche, s’habille, s’en va, après que l’on se soit promis de se revoir. Six heures passées, Jean-Claude l’a accompagné à la porte, puis me rejoint dans le lit. Il s’allonge tout nu contre moi, dans le noir, et sa main s’empare de mon paquet. Il me caresse, la bite et les couilles, et me fait bander rapidement. Sa bouche lèche mes seins, mon ventre, mon bas-ventre, pour finir sur mon service trois pièces. Il me pompe, me gobe, avec des gémissements de cochonne gourmande, et je m’abandonne à sa divine fellation. Je jouis sans le prévenir, sachant qu’il n’attend que ça. Il bouffe tout, aspire mes dernières gouttes, et s’allonge à nouveau contre moi: — Tu es chaud mon salaud! Il t’a plu mon copain? — Oh oui! Putain, c’est bon de se faire baiser! Si j’avais su! — Je te l’ai dit, il n’y a rien de meilleur qu’une bonne queue. — Oui, sauf deux queues! Quel dommage que tu ne bandes plus. — Ca te plairait une partie à trois? — Oui, ce serait le top, deux belles bites dressées juste pour moi. — Je pense avoir ce qu’il te faut, si tu veux. Il me parle alors de deux de ses amis. Ce sont deux jeunes, de dix-huit et dix-neuf ans, et qu’il a rencontré récemment au sex-shop, lors d’une de ses maintenant rares visites. Ils se faisaient un 69 ...