Les nièces jumelles (2)
Datte: 26/06/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... la bonne voie. Son souffle devient de plus en plus court. Il n’a pas détourné une seule seconde son regard de moi. Je le fixe droit dans les yeux pour scruter la moindre de ses réactions. Je me délecte de chaque indice de plaisir. — Megan, ma chérie, tu vas me faire jouir si tu continues comme cela. Je m’interromps juste une seconde pour lui répondre : — C’est ce que je veux. S’il te plait, tonton, jouis pour moi. Donne-moi tout ton sperme, je le veux pour toi. J’engloutis son chibre dans ma gorge. Je me démène sur sa tige pour essayer de lui offrir un max de sensation. Il pousse des grognements et des râles, je pense qu’il n’en a plus pour longtemps. — Hmm, aaah, Megan, je ne vais plus pouvoir me retenir ! J’ai envie de lui dire "ne retient pas", mais je n’ai pas envie de m’arrêter à nouveau, je lui lance alors un regard qui en dit autant que des mots. Cela semble lui faire de l’effet, car il se met soudain à crier mon nom : — Megaaaaaaaaaaaaaaan ! Aaaaaaaaah ! Je sens quelque chose gicler au fond de ma gorge. C’est du sperme, je suis si fière d’avoir réussir à le faire éjaculer. Je continue de le branler fermement pour essayer d’en faire sortir un maximum. Je réalise sur le coup que je ne sais pas trop quoi faire de sa semence. Dois-je avaler, ou recracher ? J’étais tellement dans mon trip que je ne me suis même pas poser la question avant. Sur l’impulsion du moment, je me dis que ce serait dégueulasse d’en avoir partout, je décide donc la première solution. C’est seulement ...
... après avoir dégluti que je me rends compte de ce que je viens de faire : j’ai avalé du sperme. Je suis trop excitée pour trouver ça dégueulasse, quand je sens le second jet m’envahir la bouche, je lui fais subir le même traitement. Ce n’est pas si terrible après tout ; ce n’est pas vraiment bon, mais pas particulièrement mauvais non plus. Il continue de se déverser en moi, j’accueille chacune de ses salves avec amour et dévotion. Elles sont la preuve que c’est moi qui le fait jouir. Je suis ainsi collée à sa queue tel une gamine sur une sucette jusqu’à ce que plus rien n’en sort. Ne sachant pas ce que je suis censé faire maintenant, je continue de le sucer. Je la sens peu à peu se ramollir. Je trouve ça drôle ; c’est comme si sa bite était un animal avec une volonté propre, et qu’après avoir joui elle était épuisée et avait besoin de repos. Je la recrache enfin de ma bouche, satisfaite de mon travail. — Megan ? Tu as tout avalée ? me demande-t-il. Je fais oui de la tête. — Aaah ! Salope ! geint-il. Je ne le crois pas ! Je devais peut-être me sentir offensée, mais au lieu de ça, je trouve ça flatteur. Cela doit vouloir dire que ça lui a vraiment plu. — Tu as aimé mon tonton chéri ? fais-je. — Oh oui, tu as été merveilleuse. C’est la première fois que tu fais ça ? — Oui. — Soit tu mens, soit tu as un don inné. Tu es très douée. — C’est vrai ? — Oh oui ! J’ai vraiment adoré. Il remet son pantalon en place puis nous faisons ensuite un câlin. C’est bizarre, après les cochonneries ...