1. Mister Hyde - 10


    Datte: 27/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... sexes toquaient à la même porte. Instinctivement, elle modifia sa position pour faciliter à Frédéric l’accès à son anus. - C’est vraiment une bonne salope ! fut le commentaire de Marc. L’insulte et le fait que l’homme parlait d’elle comme d’un objet, l’excita. Elle tendit son cul vers l’arrière, les deux queues s’y engouffrèrent. Le choc fut tel qu’elle expulsa tout l’air de ses poumons en un seul hoquet, bref et ravageur. Elle chercha l’air comme une noyée tandis que les deux hommes pistonnaient vigoureusement son conduit en la propulsant vers l’avant. La salive accumulée - retenue par la boule qui obstruait sa bouche - s’échappa, évitant ainsi qu’elle en inspire. Couchée sur le torse de Frédéric, elle retrouva sa respiration. Elle la mit à l’unisson des coups de butoirs qui la taraudaient et put à nouveau profiter du cadeau que lui faisait son Maître. Elle retrouva son calme et ferma les yeux derrière leur bandeau. Elle se laissa bercer par les allées venues des hommes qui, s’ils ne la ménageaient pas avaient toutefois réussi à trouver l’exact dosage de leur violence. Une nouvelle vague l’emporta qui l’enferma dans un ressac où elle fut ballottée de plaisirs en jouissances jusqu’à l’épuisement de ses deux tourmenteurs. Alors, ils se dégagèrent d’elle et exprimèrent leur contentement sur son visage. Elle les reçus avec joie, libérée du bandeau et du bâillon, heureuse d’avoir su satisfaire leurs désirs. Mais elle ne prit en bouche que le sexe de Frédéric car seul son Maître ...
    ... pouvait prétendre à être nettoyé par elle. Elle s’y employa avec tant de maestria qu’il retrouva de la vigueur et s’épancha à nouveau dans sa gorge. - Tu en as vraiment fait une salope hors pair ! J’ai toujours eu envie de la voir à genoux devant moi… Elle n’eut pas besoin de se tourner vers son Maître pour savoir que l’autorisation habilement demandée par son hôte avait été accordée. Elle s’approcha donc de Marc et, docilement entama une fellation. Elle n’avait pas aimé le sucer sous la table, elle apprécia encore moins de le faire au grand jour. Le sexe de l’homme était trop large pour sa bouche et tiraillait douloureusement ses mandibules mais, surtout, il y avait sa main, posée sur sa tête en signe de simili-possession qui la fit frissonner de répugnance. Jamais elle n’avait appartenu à Marc. Certes, ils avaient été amants, mais elle ne lui avait offert qu’une sexualité classique et plutôt morne qui fut sans doute une des raisons de leur séparation. Depuis quelques heures, elle démontrait de quoi elle était capable pour l’homme qu’elle avait choisi et il en ressentait une incontestable jalousie qu’il exprima – c’est du moins ainsi qu’elle l’interpréta – en lui baisant violemment la bouche. Frédéric, pendant ce temps, alla dans la cuisine éteindre le four : la tarte Tatin n’était plus qu’un souvenir. Il ouvrit la fenêtre pour dégager la fumée qui imprégnait la pièce puis s’en retourna en fermant soigneusement la porte. De retour au salon, il se plaça derrière Frédérique et ...
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