Le baiser de Tarentula - 9H
Datte: 27/06/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
... claqua des doigts en disant : _ Allez ! A ton tour de passer sous le bureau ! Maintenant c'est moi la patronne. Putain ! Que ça m'a fait chier de me mettre à quatre pattes ! Mais il a bien fallu que je le fasse. J'ai réussi à prendre sur moi, faisant comme si ça arrivait à quelqu'un d'autre. J'aime pas trop lécher des chattes mais je sais faire. Je me suis dit qu'au fond ça aurait pu être pire que Sylvie aurait pu être un boudin. Elle recula le fauteuil pour me laisser la place. Je me glissait sous le bureau. Elle ramena le fauteuil devant moi me donnant le sentiment d'être prisonnier. Elle retroussa sa jupe. Elle ne portait pas de culotte. Certainement qu'elle avait prévu ce scénario. J'observais sa petite chatte blonde et l'odeur de son sexe venait me chatouiller les narines alors qu'elle écartait les cuisses. Instinctivement, mon sexe commença à durcir. J'étais dégoûté de me sentir réagir comme un chien mais c'est vrai que j'avais encore les couille pleines, je repris un peu d'assurance en me disant que j'allais peut-être y prendre du plaisir. J'attendais, le visage entre ses jambes, décidé à ne pas me montrer empressé alors que finalement, j'avais bien envie d'y goûter à sa chatte. C'est vrai qu'elle était bien mignonne, sa petite minette. Je l'aurais préféré épilée même si la fine toison qu'elle arborait laissait percevoir la fermeté de ses grandes lèvres, bien serrées. A 26, 27 ans, je savais plus trop, cette petite conne n'avait pas du recevoir beaucoup de bites. ...
... Je me pris à imaginer qu'elle était vierge et mon érection s'amplifia encore. Soudain, elle recula le fauteuil et retira ses chaussures. Ensuite, elle releva ses jambes, jusqu'à poser ses pieds sur le fauteuil. Elle était comme accroupie sur mon fauteuil de bureau. Les jambes encore plus écartées, elle offrait à mon regard son sexe sans aucune pudeur. Jamais, je n'aurais cru Sylvie, petite secrétaire timide et effacée capable de tant d'assurance. Puis, j’eus la surprise de voir sa main tenant ma tasse descendre entre ses jambes. Elle le positionna entre ses cuisses avant d'ordonner : _ Tiens le ! Il faut que je pisse encore. _ Sylvie ! Allons ! Vous n'allez pas faire ça ? _ Putain. Je vais me gêner ! Tu t'est pas privé de te vider les couilles dans ma bouche connard. A mon tour de prendre mon pied ! En plus j'ai vraiment trop envie. T'imagine même pas tout ce que j'ai pu boire. Allez ! Prend le ! Et fais attention de pas en mettre partout ! J’attrapai le récipient, pendant que, fermement campé sur ses pieds et à peine encore assise du bout des fesses, elle faisait basculer son bassin vers l'avant ses mains agrippés aux accoudoirs du fauteuil. Je positionnait le mug juste sous sa chatte, partagé entre la fascination pour cette entrejambe féminin complètement offert à ma vue et le dégoût de savoir qu'elle allait se servir de ma tasse comme un pot de chambre. Soudain, le jet a fusé. J'ajustai instinctivement le mug pour éviter que l'urine ne coule sur la moquette. Il n'empêche ...