Année de terminale (15)
Datte: 28/06/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... en fixant bien l’objectif, je passe mes mains dans mes cheveux, faisant remonter ma poitrine, je lèche langoureusement mes lèvres, récupérant au passage le sperme dessus. Ca lui a bien plus, il veut absolument me montrer la vidéo. Je n’en ai pas plus envie que ça, et j’ai honte en découvrant à quel point je fais salope. J’ai l’impression d’être une actrice de porno, et c’est-ce qui lui plait. Les deux profs passent et s’amusent en disant "ben alors, tu es toujours là ? Besoin de faire des heures d’étude ?". Et le surveillant qui leur fait • Pas cool de ne pas m’avoir invité. • Tu auras bien d’autres occasions, ne t’inquiète pas. • J’espère bien. • Et je vois que tu t’amuses très bien sans nous. Allez, bonne soirée. Ils partent, le surveillant me demande de refaire la même chose, mais en marchant à quatre pattes cette fois. Timidement, je lui dis • Je crois qu’il commence à se faire tard, et si je ne suis pas à la maison... • … Oui, tu as raison. Il faut pas éveiller les soupçons. Mais, avant de partir, tu vas une nouvelle fois me vider les couilles. Allez, à genoux et suce, salope ! Je m’exécute. Il me prend la tête et s’enfonce entièrement dans ma bouche. Il a peut-être une petite bite, mais elle va presque jusqu’à ma gorge. J’ai eu un instant envie de ...
... vomir. Je me suis retenue, j’ai dégluti et il s’est mit à baiser ma bouche comme si j’étais un objet. J’ai serré les lèvres pour faire plus de pression sur sa queue, pour plus de sensations et qu’il se vide plus rapidement. Je n’ai pas eu l’impression que c’était efficace. Après plusieurs minutes, je lui ai demandé de me laisser faire. J’ai malaxé ses bourses, masturbé de l’autre main, et joué de la langue sur son gland. C’était l’occasion pour lui de filmer à nouveau. Il dit au passage "Celle là, c’est pour moi perso". Sous-entendant qu’il allait partager les autres ? Quelle bande de gros salauds tout de même. Enfin, il éjacule, son sperme remplit ma bouche, il pousse un râle en disant "Ha oui, salope, c’est bon. Avale bien, ne laisse pas une goûte". Et quasiment tout de suite après, il me jette dehors en disant qu’il verrouille les portes. Je me retrouve ainsi quasiment nue dans la cours, il fait nuit, il n’y a personne, et un petit vent piquant me glace la peau. J’enfile directement mon manteau, je regarde l’heure, j’ai loupé le dernier bus. Une petite heure à marcher à pied, sous ce froid, avec cette tenue et dans cet état ? Je ne le sens pas du tout. Mais, je me vois encore moins appeler mon père pour venir me chercher. Il me poserait bien trop de questions.