On a aussi le droit de baiser quand on est gros et moche (8)
Datte: 28/06/2018,
Catégories:
Hétéro
Il ne m’a pas fallu attendre longtemps pour que Karen s’installe chez moi. Il faut dire qu’elle aimait nos galipettes au lit …. Et moi aussi. Depuis qu’on vivait sous le même toit, je n’irais pas dire que c’est « sexe tous les jours » mais presque. Il faut dire que parfois elle était de nuit à la réception de l’hôtel où elle travaillait et je devais attendre qu’elle revienne. Elle ne vivait pas totalement à mes crochets. Elle avait gardé son boulot, elle participait aux frais avec les courses, …. Ça se passait très bien entre nous. Moi de mon côté, j’avais résilié mon abonnement à l’agence d’escorte, Fini ! Le seul accro qu’il y avait c’était que ma mère, après avoir sauté de joie à l’idée d’avoir ENFIN une belle-fille, m’avait clairement dit de me méfier. Elle voyait Karen comme une mante religieuse prête à me sucer jusqu’à la moelle, une veuve noire qui n’était avec moi que pour l’argent, prête à me jeter comme un mouchoir en papier après usage. Bref elle ne l’aimait pas C’est vrai que cette relation avait démarré très vite … trop vite même et c’était quelque chose que j’avais gardé en tête. Karen aimait les jolies choses et elle ne s’en cachait pas. Pour ce qui était de me sucer jusqu’à la moelle, j’y avais droit quasiment tous les jours … Bon OK elle était facile celle-là mais Karen savait parfaitement comment me mettre en condition. Il n’était pas rare, quand elle ne travaillait pas, qu’elle me réserve un petit scénario pour la soirée. La première fois, ça m’a ...
... surpris de la voir nue à genou devant moi prétendant être mon esclave et terminant sa phrase en réclamant sa pitance et en ouvrant la bouche devant ma braguette. Un soir, elle m’a fait le coup de l’étudiante qui attendait son prof et qui comptait lui proposer de coucher pour avoir de meilleures notes. Un autre soir c’était la secrétaire coquine, …. Dans ses bras, j’avais l’impression d’être le meilleur amant du monde. Je me doutais qu’elle faisait ça pour vivre avec moi et profiter de mon train de vie et ce fut clair quand, au bout d’un an de relation, lors de notre soirée anniversaire elle m’a posé la question qui tue « Quand est-ce qu’on se marie ? Tu sais que ta mère n’attend que ça ? ». Oui je le savais et elle n’était visiblement pas la seule. Devant cette question, je restais indécis. Il était clair que si j’acceptais de lui passer la bague au doigt ce serait sous condition. Déjà, il était hors de question que ce soit sous le régime de la communauté de bien. Et non ma grande ! Si par hasard on divorçait, chacun repartirait avec ce qu’il avait. Je suis peut-être gros mais le gras n’a pas encore attaqué mon cerveau. La deuxième condition que je lui ai imposée était que je ne me marierais qu’avec celle qui m’aura donné au moins un môme. « Alors, comme ça, tu veux que ça continu ? Il va falloir me prouver que tu es sincère ma belle ». Je ne lui ai pas dit comme ça mais c’était l’idée. Je voulais qu’elle me donne une preuve pour me passer la corde au cou. Quand elle a connu ma ...