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Claudine, Professeur de Français
Datte: 23/07/2017, Catégories: Partouze / Groupe
... totalement défait et mes cheveux tombent dans mes yeux. J'halète comme une folle cherchant à reprendre ma respiration. Mon tailleur noir est également souillé par les traces de spermes. Un filament coule de ma bouche pour aller s'écraser sur mes seins. Mon calvaire ne s'arrête pas là. Je suis leur jouet et ils en abusent. Après avoir taillé des pipes à tous ces obsédés et avoir été prise de toutes les façons et plusieurs fois, ils s'arrêtent soudain épuisés, repus. J'ai honte de le reconnaître, mais plusieurs fois, j'ai eu des orgasmes foudroyants. On joue encore avec moi quelques temps. On me force à marcher à quatre pattes avec le talon aiguille d'un de mes escarpins enfoncé dans mon anus. On prend des photos, beaucoup de photos. Puis, on me relève et je suis reconduit dehors à ma voiture, la veste du tailleur encore ouverte, les seins à l'air et la jupe tirebouchonnée autour de ma taille. Mes bas sont déchirés. Et je titube sur mes talons aiguilles, ivre de plaisir. Les hommes font tous cercle autour de moi. Francis me lance : - Voilà ma salope, tu vas pouvoir rentrer chez toi. Mais pas un mot hein? N'oublie pas qu'on a les photos et que surtout tu as pris ton pied. Si tu ne veux pas que ton mari l'apprenne, je te conseille de rester discrète. Et reviens nous voir quand tu veux! Tout le monde éclate de rire. Rachid et Bruce, mes élèves, me regardent avec un air salace : - A demain Madame, nous avons cours.... Leurs regards sont lourds de sous-entendus. Je remonte dans ma voiture qui effectivement démarre au quart de tour et je prends la direction de mon pavillon, ne désirant qu'une seule chose, oublier ce qui vient de se passer. à suivre...