Odile
Datte: 29/06/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
J'ai rencontré Odile, lors du concours d'entrée à La Poste. Elle était jolie, douce. Quand je l'ai mise dans mon lit, elle était timide, vierge, et effarouchée. Malgré toutes ses réticences, et avec une tendresse et une patience infinies, je lui ai fait accepter la fellation, la sodomie et autres pratiques sexuelles un peu hors normes. Après six mois de stage et de vie commune, nous obtînmes nos titularisations et un mois de vacances. Nous sommes retournés dans le midi, lieu de notre enfance, et je suis allé présenter mes respects, aux parents d'Odile. Là, tout à changé. Est-ce le fait d'être chez elle ? Je ne sais pas. Le premier soir, elle me prit par la main, et m'entraîna dans sa chambre. Une fois la porte refermée, elle s'est jetée sur moi. Elle m'a arraché mes vêtements et m'a renversé sur le lit. J'étais complètement nu. Elle s'est allongée sur moi et a frotté sa chatte contre ma bite. Elle s'est glissée entre mes cuisses et a embouché ma queue. Un de ses doigts s'est glissé entre mes fesses, et s'est infiltré dans mon cul. Je ne l'avais jamais vue dans cet état. J'ai crié : - Qu'est-ce qui t'arrive ? La bouche pleine de ma queue, elle grommela quelque chose d'inintelligible. Ses lèvres montaient et descendaient le long de mon manche, à une vitesse vertigineuse. Elle avalait goulûment, comme si elle avait été privée de bite depuis longtemps. Quand j'ai eu joui dans sa bouche, elle s'est relevée, m'a embrassé sur la bouche, me rendant une partie du sperme qu'elle ...
... venait de me soutirer. Elle se releva et écarta ses jambes. Tenant ma queue dans sa main, elle s'assit sur moi, dirigeant sa proie vers sa chatte. Après deux ou trois aller-retours, elle se releva et posa ma queue sur son petit cul. Une fois le gland enfoncé dans son cul, elle se laissa retomber de tout son poids sur mon membre, le faisant s'enfoncer, tout entier, au fond de son cul. Les yeux révulsées, je voyais la raie de son cul, faire des va et viens rapides le long de mon sexe. Il me semblait que son cul s'était embelli depuis Paris. Revenant à la réalité, ce détail m'a finalement échappé. Odile avait changé. Pourquoi ? Pour l'heure, je m'en fichais. L'important était le plaisir que je prenais, à la baiser, ou plutôt à ma faire faire baiser par elle. Quand nous sommes retournés sur Paris, elle était redevenue la petite fille sage, à qui j'avais tout appris, et qui se laissait faire avec prudence. J'ai demandé des explications et elle m'a répondu qu'elle ne comprenait pas de quoi je lui parlais. J'ai laissé tomber la question, jusqu'aux vacances suivantes. La situation avait de nouveau évoluée. Non seulement Elodie était redevenue exaltée, mais elle avait exigé autre chose. Le soir de notre arrivée, elle m'entraîna de nouveau dans sa chambre, et me dépouilla à nouveau de mes vêtements. Elle se releva après la première fellation, enfila sa culotte, et se dirigea vers la porte. - Ne te rhabilles pas, dit-elle , en ouvrant la porte. Je reviens tout de suite. Quand elle reparut, ...