Cousin Fabien
Datte: 29/06/2018,
Catégories:
ff,
hh,
ffh,
couple,
Inceste / Tabou
vacances,
amour,
fsoumise,
fdomine,
intermast,
init,
... qu’aucune des deux ne pouvait définir, elles reprirent un peu conscience de leur situation, elles s’aperçurent que Fabien, les yeux exorbités, les regardait fixement. Il avait la bouche ouverte et le pantalon aussi. Son sexe tendu et violacé dépassait de son jean. Il tenait ses mains bien écartées de son corps car il savait qu’à la vue de ce fantasme en réalisation il ne tiendrait pas longtemps s’il se touchait, et qu’au premier contact son sexe se mettrait à dégorger son jus. Élodie regarda Charlotte. — Et on fait quoi, maintenant ? demanda-t-elle.— Maintenant, j’ai envie de toi, lui répondit l’autre femme. Mais surtout, j’ai envie de rendre mon mari fou de désir. Les deux femmes s’approchèrent de Fabien qui les regardait sans oser croire à son bonheur. Comme tout homme réalisant un tel fantasme pour la première fois, il oscillait entre l’envie que cela dure le plus longtemps possible et celle de jouir immédiatement, de peur que tout ne soit qu’un rêve et que l’éveil ne le surprenne avant le plaisir… Les deux femmes se penchèrent sur le sexe tendu, puis elles échangèrent un sourire, et, à quelques centimètres devant les yeux de l’homme, elles recommencèrent à s’embrasser. Fabien les contemplait, fou de bonheur et d’excitation. Élodie aurait souhaité prendre en bouche le superbe membre en pleine gloire mais cela aurait peut-être braqué Charlotte. Ses craintes se révélèrent bientôt infondées lorsqu’elle sentit son poignet pris par la main de l’autre femme et dirigé sur le ...
... sexe de l’homme. Séparant ses lèvres de celles d’Élodie un court instant, l’épouse s’adressa doucement à son mari : — Regarde bien ce que je fais… Et elle plaça la main d’Élodie au contact du membre dressé. Les doigts féminins s’emparèrent de la colonne de chair. Vaincu par l’image de cette main de femme qui allait lui donner du plaisir sur l’invitation de sa propre épouse, Fabien ne put se retenir et jouit à longs jets, la semence habilement recueillie servant de lubrifiant aux doigts qui trayaient savamment son organe. Il cria très fort. Les deux femmes se séparèrent. — Le voilà plus calme, fit Charlotte. Maintenant, nous allons pouvoir nous occuper de nous-mêmes. Elles se détournèrent et abandonnèrent l’homme affalé sur le sofa, dont les vêtements portaient les traces humides de son plaisir, car Charlotte, tenant toujours le poignet d’Élodie, avait fait celle-ci déposer le jus recueilli sur la toile du pantalon. En quelques pas, elles atteignirent la chambre de l’invitée. La porte se referma et on entendit nettement le verrou être actionné de l’intérieur. Puis des gémissements de plus en plus forts traversèrent aisément le fin panneau. Fabien se leva à son tour. Le plaisir foudroyant qu’il avait ressenti n’avait pas été suffisant pour compenser des années de fantasme et de frustration. Il voulait maintenant voir ces deux superbes femmes se donner du plaisir. Totalement. Les voir nues, se frotter l’une à l’autre, se sucer les seins, se lécher le sexe… Et il voulait participer, ...