1. Soumis à ma belle-mère (13)


    Datte: 29/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Mature, Inceste / Tabou

    Un an de relation amoureuseJe réalise que cela fait un an que nous sommes tombés amoureux l'un de l'autre, ma belle-mère bientôt âgée de 72 ans et moi. Nous avons 15 ans d'écart. Cette aventure hors norme me fait fondre à chaque fois que j'y pense. Quelle chance d'avoir osé la prendre dans mes bras un jour où elle était un peu fragile - ce qui lui était exceptionnel.Je me souviens que j'avais commencé à la regarder comme une femme et non plus comme une belle-mère bien classique plusieurs mois avant que je ne l'enlace pour la 1ère fois. C'était durant des étés, à la plage ou bien dans son petit jardin sur l'arrière de sa maison où elle paraissait en maillot une pièce noir couvrant et tout à fait sage. Mais j'avais vu sa belle silhouette de femme mûre, restée fine et menue, des jambes fermes et bronzées, un ventre plat et des petits seins. La comparant avec sa fille, mon ex-femme, qui avait pris du poids, j'avais eu un regard admiratif.C'est à ce moment-là que la petite graine du désir avait germé dans mon pauvre cerveau de mâle qui ne désirait plus la fille de cette femme mûre – sa mère – et pour qui je commençais à éprouver une admiration pour son corps, son visage et sa maturité. Je commençais à jouer avec un tabou, une sorte d'i****te : je cherchais progressivement à séduire ma belle-mère sans intention particulière, vouloir lui plaire sans imaginer qu'une relation intime puisse jamais exister.Petit à petit, mon opinion sur elle s'était transformée. D'une femme un peu ...
    ... revèche, conventionnelle et marquant ses distances, je m'étais mis à apprécier sa force de caractère et son physique de femme encore séduisante. J'en étais tombé progressivement amoureux, m'étonnant moi-même de la tempête intime qui m'avait emportée. Avant que notre relation ne démarre, je pensais déjà souvent à elle, et il m'arrivait même de me masturber en me remémorant ce qu'elle me laissait apercevoir d'elle : ses vêtements, la forme de ses seins, sa bouche fine et fragile, ses chaussures, sa peau ridée, ses bras, ses hanches entourant un ventre plat... . Notre relation était bien tabou : était-ce aussi cela qui nous avait ennivré ? Jamais je n'aurais pu imaginer l'ampleur et la force dévastatrice mais exaltante de nos sentiments.Belle-maman "marque" son esclaveUn an s'était passé. Je réalisais que tout mon désir lui avait été dédié. Je n'avais pas joui une seule fois sans elle, sans son accord ou sans lui dire. Je lui avais confié toute ma sexualité et elle s'était découverte comme amante sensuelle avide de plaisir.Hors les nombreuses vidéos salaces que Béatrice avait enregistrées de moi lui démontrant mon désir d'elle, une nouvelle preuve de mon amour venait de se concrétiser.Elle m'avait demandé de me tatouer quelques mots sur les fesses. Après de bonnes discussions, nous nous étions finalement accordés sur un message sans ambiguité qui désormais était lisible sur mes deux fesses. Ma fesse de gauche indiquait en lettres anglaises«Esclave amoureux fou... » et celle de droite ...
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