1. Des études mal engagées


    Datte: 29/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... avait dansé la veille. Bien avant qu'elle entame une réaction, la fille lui crachait au visage. « Tu vois ça grosse pute c'est mon mec. Et toi grosse traînée que tu es venu te frotter à lui comme une chienne en chaleur, tu me dégoûtes, t'es vraiment qu'une merde ». Louise allait parler, quand à peine un son était sorti de sa bouche, une énorme claque lui atterrissait sur la joue. « Ferme tout de suite ta gueule et écoute très attentivement et surtout regarde ! » La fille faisait défiler des photos, et dans les yeux de Louise on pouvait lire la terreur qui grandissait au fur et à mesure. C'était des séries de photos sur trois événements de la soirée, dont Louise n'avait aucun souvenir, et qui aux vues des photos étaient arrivés sans aucun doute possible. La première série montrait Louise au sous-sol de la fête, encouragé par des jeunes, aux airs complètement drogués, en train de sniffer un rail de coke. Sur la deuxième série on pouvait voir clairement Louise en train de tagger avec une bombe de peinture, sur le bâtiment des professeurs « bande de putes ». La dernière série laissait apparaître Louise accroupie, pantalon et culotte baissée, en train d'uriner sur la pelouse du bureau du directeur de l'université. Sans lui laisser le moindre répit, la fille enchaînait : « Si ces photos atterrissaient entre de mauvaises mains, tu serais viré sans hésitation d'ici, tu aurais même peut-être des ennuis avec les flics et surtout tu serais humilié publiquement et jamais tu ne t'en ...
    ... relèveras . Bien sur on peut s'arranger, tu vois pour une fille de mon standing c 'est important d'avoir des privilèges. Et quoi de mieux pour ça qu'avoir une esclave personnelle ? Ton choix est simple, soit tu deviens mon esclave personnelle sans restriction ta vie ici m'appartient, soit le destin choisira quel sort te réservera la publication de ces photos » Des larmes commençait à couler sur les joues de Louise. Pourtant elle ne se rendait pas compte de la position dans laquelle la mettait la fille. Non elle se demandait comment avait-elle pu en arriver là. Cette débauche, cet état pitoyable, comment après tant d'années à rester sérieuse, elle avait pu se ruiné sa fierté ainsi, sur de stupides résolutions dictées par la société ambiante ? Parce qu'elle avait été faible. Elle avait cédée à des pratiques populaires, pourtant stupides et irresponsables pour la plupart. Maintenant il fallait en assumer les conséquences. Pas seulement pour son honneur, mais vis à vis de ce chantage. Les effets de la soirée n'étant pas encore totalement estompées, son cerveau tournait au ralenti, elle n'arrivait à rester concentré sur la situation à réfléchir. Une autre gifle l'aidant à se remettre sur le droit chemin. « Putain t'es encore défoncée grosse merde. J'ai pas de temps à perdre avec toi dans cet état. De toute façon la situation est simple, demain matin, à 7h30, tu seras à genoux, mains dans le dos nue dans les toilettes handicapés du bâtiment Jaurès. Que ce soit moi ou elles, dit-elle en ...