1. Le bonheur d'être mère


    Datte: 29/06/2018, Catégories: fh, fhh, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral double, Partouze / Groupe yeuxbandés, confession, couple+h, entrecoup,

    ... de « salope », de « femme à bite », par l’homme qui vous prend, par-devant ou par derrière, alors que vous le provoquez comme « une pro », le poussez à « vous baiser », « vous enculer », « vous déchirer le cul », amène à des orgasmes inconnus. Que dire, de se retrouver immobilisée par des liens, aveuglée par un bandeau, bâillonnée, à la merci d’un homme ? Votre cerveau est libre de divaguer, d’imaginer des situations, cocasses ou périlleuses, en particulier pendant ces moments où l’homme ne vous touche pas. Tout prend des proportions différentes et même le sexe que vous avez tant de fois sucé et qui vous a prise tant de fois, semble différent. Heureusement Hugo ne me demandait pas de tout lui raconter. D’ailleurs, de retour dans mon univers, je n’aurais pas pu tout lui dire. Je me contentais du minimum, relatant plus les situations, comme un observateur asexué, que les sensations. Et puis est arrivée la dernière fois. Comme d’habitude, j’attends dans la chambre pour recevoir le dernier hommage de mon amant. J’hésite entre la joie que cela se termine, l’inquiétude d’attendre le résultat de tous mes efforts mais aussi un regret, vite réprimé, de ne plus avoir ces séances. La porte s’ouvre. Une silhouette s’avance. — Je t’ai préparé une surprise pour ce dernier soir. C’est Clara. La porte qu’elle a laissée ouverte laisse passer la lumière du couloir. Elle est nue. Je réalise que c’est la première fois que je la vois ainsi. Elle avance, se penche vers moi et me chuchote à ...
    ... l’oreille. — Jusqu’au dernier moment, j’ai douté qu’il viendrait. Regarde. Deux ombres se détachent. La lumière jaillit et à quelques pas, deux hommes s’avancent. Mon mari et Fabrice. Personne ne m’avait parlé de ce projet. Je saurai après que Clara avait insisté auprès d’Hugo pour qu’il vienne, présentant cela comme « une preuve d’amour envers moi et du sacrifice que je faisais chaque fois que je venais chez elle ». Cela paraît un peu gros, mais il était là. Je me précipite dans ses bras et nous nous embrassons tendrement. Clara invite les hommes à s’asseoir sur le lit, l’un à côté de l’autre. Elle me pousse vers eux, et me fait m’agenouiller devant son mari. Je sens le regard d’Hugo suivre chacun de mes mouvements. J’approche ma bouche du sexe mou qui repose sur les bourses, et avec mes lèvres je saisis le gland que je serre à sa base, dans le sillon qui le sépare de la hampe. Ma langue parcourt la peau fine, délicate, encore souple et je titille le méat. Ainsi prisonnier, je soulève le sexe de son appui et place une main en réceptacle des deux bourses protégées par leur enveloppe de peau à la fois ridée et souple. Un coup d’œil à ma gauche et je vois le sexe de mon mari déjà bandé, dressé vers son nombril et, comme toujours, plaqué contre son ventre. Nos regards se croisent et il me fait un clin d’œil complice. Je pense que Clara va s’occuper de lui, mais en réalité, je sens qu’elle s’agenouille pour venir se plaquer contre moi. Sa poitrine, dure, se presse contre mon dos et je ...
«12...91011...16»