Le bonheur d'être mère
Datte: 29/06/2018,
Catégories:
fh,
fhh,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
double,
Partouze / Groupe
yeuxbandés,
confession,
couple+h,
entrecoup,
... mélange de lubrifiant, de salive et de ma propre humidité. Il augmente son amplitude jusqu’à sortir de mon anus. Je me sens vide un instant, mais très vite reprise et poussée en avant par son coup de rein qui fait frotter encore plus mon clito sur le pubis de mon amant. Je ne peux pas me retenir d’exprimer mon plaisir. Il serait ridicule de ne pas le faire, par pudeur, alors que deux hommes me possèdent. — Oh ! C’est bon ! Chéri. Continue, continue. Il accélère, de plus en plus fort, de plus en plus profond. Son souffle sur ma nuque rythme son va-et-vient, entrecoupé de « han » de bûcheron lorsqu’il repart en avant, écartant, maintenant sans ménagement, mon petit trou. Ce n’est pas un mari qui baise sa femme, non, c’est une bite qui dilate, écarte et s’enfonce dans un cul généreux, offert. Il se redresse, m’attrape par les hanches et, dans un cri, éjacule au plus profond de moi. Je ne sens pas son sperme, mais il accompagne chaque jet d’un coup de rein, me projetant à chaque fois un peu plus en avant, déclenchant un orgasme. Il se retire et un moment j’envie Clara qui doit voir ce pieu toujours dur, sortit de mon anus qu’il abandonne encore largement ouvert. Je sens maintenant le sperme s’écouler lentement, et je l’imagine goutter sur la base de la hampe et les couilles de Fabrice. Je sens d’ailleurs un doigt qui le dirige et qui fait le tour de mes petites lèvres. J’ai joui, mais j’en veux encore. Maintenant je suis libre de me redresser pour chevaucher mon amant et avec ...
... frénésie, je me baise sur lui. Il glisse sans difficulté dans mon vagin qui lui offre maintenant tout son espace et ce sexe me paraît maintenant bien peu volumineux. Des mains caressent mes seins, d’autres titillent mon clito, des doigts reconquièrent mon anus. Tout contribue à mon plaisir. Même le regard de mon mari qui s’est déplacé en face de moi ajoute une touche de perversion, si bonne, si bonne… — Oui ! Oui ! Je viens ! Je viens ! Alors que je crie mon plaisir à nouveau, Fabrice que je reconnais bien là et qui attendait cet instant éjacule avec force, mêlant son sperme à ma liqueur. Une pensée folle, ridicule, perverse, traverse mon esprit. Si je dois tomber enceinte, faites que ce soit ce soir, engrossée par mon amant pendant que mon mari regarde et qu’il vient juste de juter dans mon anus. Ainsi le père géniteur et le père nourricier ne faisaient qu’un. ******************** Épilogue – Version 1 Neuf mois de bonheur avec ce petit être dans mon ventre. Nausées, fatigue, gros seins sont peu de chose devant un tel événement et une telle attente. Toute la famille est rassemblée dans ma chambre à la maternité. Chacun y va de sa remarque sur la ressemblance frappante avec la maman et le papa. Je suis trop fatiguée pour répliquer, et d’ailleurs que dire. Vous imaginez le scandale si j’annonçais que le père n’est pas celui qu’ils croient, mais un voisin. Le comble est lorsque ma belle-mère, toujours aussi délicate, mais tout de même après les félicitations d’usage, a lancé à la ...