Maison d'hôte à la montagne (7)
Datte: 30/06/2018,
Catégories:
Trash,
... s’accorder dans leurs mouvements, et me voilà prise en sandwich. Les coups de butoir sont puissants, le père de famille à glisser un tissu dans ma bouche afin de diminuer l’intensité de mes cris ce qui est plutôt utile afin d’éviter un attroupement ingérable. Au bout de quinze minutes, les deux hommes explosent en moi. J’en ai le souffle saccadé, je reprends mes esprits, puis me relève. Le sperme coule le long de mes jambes, les deux garçons me remercient pour ce cadeau, puis filent dans la nuit noire comme si de rien n’était. Pierre essaye de réveiller mon époux, puis nous propose de dormir un peu dans la jeep familiale avant de repartir. Effectivement, cette initiative est prudente puisque nous avons tous consommés de l’alcool. Nous nous retrouvons face à une crique minuscule. Le père de famille couche les sièges du véhicule afin que nous soyons le plus à l’aise possible. Olivier se retrouve sur les sièges arrières, tandis que moi, je commence à m’endormir à côté du quinquagénaire. Le sperme continue de couler le long de mes jambes, j’essaye de me nettoyer brièvement avec un robinet d’eau qui est à proximité, puis me couche. Le père de famille ne peut s’empêcher de me toucher une dernière fois avant de dormir. Il m’embrasse même comme si j’étais sa femme, ou sa petite copine puis nous nous endormons. Il est sept heure du matin, le soleil nous réveille brutalement, nous sommes ici au bord d’une crique, en train d’émerger de la fête de la veille. Olivier me regarde ...
... bizarrement, puis nous nous pressons afin de rentrer à la maison. Nous montons dans notre chambre, je me prends une douche, mais mon époux m’arrête net dans mon élan. Il me demande ce qu’il s’est passé hier soir, je lui indique qu’il était ivre et qu’il s’est endormi dans le parc à côté du banc. Mais ce dernier veut me faire dire certaines choses, je reste néanmoins discrète. Il me demande si j’ai couché avec le père de famille, je lui réponds par la négative. hqahiimx Olivier m’interroge de nouveau puisqu’il semble avoir entendu de la bouche de Pierre que j’étais sa maîtresse. Je lui explique maladroitement, que le quinquagénaire est un farceur, un blagueur et que pour rien au monde, il aurait dit ça sur un ton sérieux. Mon époux reste perplexe, puisqu’à présent il entre dans le vif du sujet. En parlant de grognement, de petits cris de plaisir. Je lui dis tout simplement qu’il s’agissait tout simplement d’un groupe de filles qui passaient par le parc alors que nous étions toujours présents. Le plus calmement possible, je lui demande, si je peux enfin prendre ma douche. Ce dernier accepte, sous l’eau, je pousse un soupir de soulagement. Je me détends comme je le peux, mais c’est assez difficile. Je sors en petite serviette, me dirige vers lui en faisant une démarche enjôleuse, puis l’embrasse. Olivier ne refuse pas cette première avance, mais ne souhaite pas aller plus loin tant qu’il ne sera pas convaincu de ma sincérité. Il est neuf heures du matin, l’odeur de café envahi la maison, ...