1. De humaine à hucow (1)


    Datte: 30/06/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... as très bien fait ça, maintenant tu es parfaite. Me répondit-il tout simplement. Tu peux aller voir si tu veux. Il me pointa un grand miroir que je n’avais pas remarqué de l’autre côté de la pièce. Lorsque je m’y regardai je pus enfin voir ce qu’il m’avait fait, un anneau doré massif marqué au nom de l’entreprise traversant maintenant le cartilage au centre de mon nez endolorit me faisant souffrir à chaque mouvement que je pouvais faire. — La douleur s’évanouira bientôt, je t’assure. Désolé pour la surprise, puisque cette pièce est plus épaisse que les anneaux de nez habituels je préfère ne pas avertir à l’avance pour ne pas te stresser. Me dit-il d’une voix réconfortante tout en posant une main compatissante sur mon épaule. J’aurais été supposée lui en vouloir pour m’avoir fait une telle surprise, mais le contact de sa main chaude et lourde sur ma peau me ramena doucement à l’ordre. Trop tard de toute façon me dis-je à moi-même. Et puis si c’est là la politique de cette entreprise je ne m’y serais pas objectée. Voyant que je m’étais calmée il prit ma chaîne toujours pendante entre mes seins et m’invita à le suivre. Nous traversâmes un long couloir qui nous mena finalement à une autre petite pièce dont la porte placardée "quarantaine" m’interpella. Je n’eus pas besoin de poser de question qu’il y répondit déjà tout en poussant la porte. — C’est ici qu’on reçoit les nouvelles, on teste les nouvelles candidates en quelques sortes avant de te faire rejoindre les vraies ...
    ... installations. L’intérieur de la pièce contrasta complètement avec le reste des installations que j’avais vues jusque-là. Des planchers au plafond, tout était conçu pour être facilement nettoyé et aseptisé. L’acier inoxydable remplaçait maintenant le blanc que je voyais depuis mon arrivée. Je sentis Vincent tirer un petit coup pour me ramener à l’ordre, je ne m’étais même pas aperçue que je m’étais arrêtée en voyant ce changement de décors et repris donc ma marche derrière lui. Il m’amena au centre de la petite pièce derrière un petit promontoire métallique relativement simple à peine plus large que mes épaules et long d’environ un mètre et demi. Une plaque rectangulaire, elle aussi en inox parsemé de gros trous tout autour dont je ne compris pas tout de suite la fonction. À l’opposé de ma position, deux arches superposées, l’une de d’environ 40 centimètres sous une seconde environ deux fois plus petite siégeaient dans les trous les plus éloignés de la plate-forme. Devant cette arche je pouvais déjà voir un trou dans le plancher qui fut, semble-t-il le seul élément de design de la pièce et dont la fonction m’échappa également sur le coup. — Bien, maintenant je veux que tu te mettes à genoux et que tu passes ta tête dans le trou, me dit Vincent. Je m’exécutai calmement, Vincent me guidant en glissant la chaîne toujours fixée à mon collier dans le trou formé par les deux arches superposées et fixa l’embout à un petit crochet que je n’avais pas remarqué à la base de la plate-forme puis ...
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