Chantal 7 rencontre éclésiastique
Datte: 23/07/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... allongée dans un lit avec une autre personne au pied du lit, et soudain j'ai un frisson et je réalise que je suis nue et que la mère supérieure est dans la même tenue que moi. Je tente de cacher mon sexe mais elle m'en empêche et au contraire c'est sa main qui prend place sur ma féminité tandis que sa bouche entoure un de mes tétons et se met à le sucer. Je me laisse faire connaissant l’autorité d’une supérieure de couvent sur les filles qui sont sous sa tutelle. Alors mère supérieure s’est couchée à coté de moi et nous nous sommes caressé, peu au fait des pratiques sexuelles je me suis laissé guider, imitant comme je peux les gestes de ma supérieure. Plusieurs fois chacune a éprouvé le plaisir généreusement donné par l’autre, c’est durant cette nuit que le mère supérieure m’a initié à la pénétration de son sexe avec la main, son sexe était large ; une véritable grotte de chair dans laquelle coulissait toute ma main, jusqu’au poignet, c’était chaud, gras onctueux, et mère Cécile se caressait le clitoris « vous avez vu Chantal comme il est énorme bien en proportion du reste du sexe !!! ». Nous avons passé la première partie de la nuit ensemble jusqu’à l’office des vigiles à deux heures du matin à ce moment j’ai pu voir la fatigue sur le visage de certaines sœurs, il en était de même pour moi, à la suite de l’office j’ai regagné ma cellule pour deux heures de sommeil jusqu’aux matines, j’ai allumé la lumière et je me suis couché nue écartant bien les jambes afin de montrer au ...
... mieux mon corps vers la glace, espérant que mère Cécile était en train de m’observer dans le couloir. Au cours de la journée mère Cécile n’a en rien évoqué cette nuit, et moi-même encore très troublée je ne me suis pas permis de le faire ; mais jusqu’à ma prise de voile ce début torride de nuit c’est renouvelé, mais cela se passait dans le couloir secret où nous nous caressions tout en regardant le spectacle que nous offraient les sœurs, nues toute les deux nous frottions nos sexes sur les cuisses de l’autre, mes seins au contact des grosses mamelles de mère Cécile étaient électrisés au point d’en ressentir presque de la douleur, mon sexe coulait littéralement sur ses doigts qui fouillaient mes chairs, mais je sentais qu’il me manquait quelque chose mon sexe réclamait plus de possession j’éprouvait le besoin d’être investie, remplie, je m’en suis confié à mère supérieure, qui m’a répondu que ça viendrai, que bien plus souvent j’aurai la chance de goûter au sexe, à la débauche sans retenue, au sein du couvent plutôt que mariée à un homme qui s’occuperait bien moins de moi, sa promesse s’averra exacte. Chantal : « quand avez-vous rencontré Monseigneur ? ». Agnès : « la première fois quand j’ai prononcé mes vœux et pris le voile, avant la cérémonie mère Cécile m’a prise à part en me disant que j’allais me confesser à Monseigneur, et que je n’avais rien à lui cacher, qu’il était bien au courant des turpitudes du couvent. Ce que j’ai fait, étonnée quand même des détails demandés ...