1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°958)


    Datte: 01/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode précédent N°957) - Ce qui était sûr, c’est que cet échange de soumises, pendant ces presque vingt-quatre heures, avait été riche en émotions pour les deux femelles !... Après le repas, qui fut pris tôt, que les deux amis prirent en tête à tête, le Châtelain me fit amener devant la maison pour aller au marché BDSM. À deux heures du village de Jiaju, dans une grande vallée isolée du monde extérieur, des préfabriqués avaient été disposés, communiquant les uns avec les autres, chaque bâtiment correspondant à un thème. Il y en avait un pour l’achat d’esclave-soumis, un pour l’échange, un pour chaque petplay parmi les principaux : petdog, petcat, et ponyplay, où il y avait des démonstrations et tout le matériel pour se livrer à ces activités. Il y avait même des préfabriqués aménagés en donjon pour que les visiteurs puissent tester sur place divers installations. Et puis, il y avait un immense bâtiment où des particuliers ou des professionnels vendaient des accessoires, des machines, neuves, anciennes, des inventions… Un véritable Salon du BDSM ! Wangdak et Sangmo nous accompagnaient. Les Maîtres décidèrent que leurs femelles les suivraient en tant que chiennes-soumises, et non en tant que compagne pour l’une et secrétaire pour l’autre. Nous fîmes donc le voyage toutes les deux enchainées dans le coffre. Je fus impressionnée, en arrivant, de voir le monde qu’il pouvait y avoir ! Nous étions dans un coin de la ...
    ... Chine qui me semblait tellement reculé, que je ne m’attendais pas à ce que cela attire autant de personnes. En même temps, n’ayant jamais entendu parlé auparavant d’un marché BDSM, je ne pouvais imaginer l’envergure que cela pouvait avoir. Malgré la confiance absolue que j’avais envers le Maître, Monsieur le Marquis, je n’avais pu m’empêcher d’avoir une appréhension à l’idée de sortir en tant que chienne. Cela ne m’était jamais arrivée d’être réellement à ma place en public en dehors du Château, surtout que le marché n’était pas ouvert qu’aux Dominants et aux dominés. Certains pouvaient en parler à des personnes vanilles et les y inviter. Mais quand je sortis de coffre, je vis un nombre impressionnant de soumis et de soumises, nus, tenus en laisse ou se déplaçant debout chaînes aux pieds et mains et tête enfermées dans un pilori. Il y en avait même qui étaient « déguisés » en soubrettes, en tenues de ponygirl ou de ponyboy, en chiens, chats, et parfois même des animaux plus exotiques. Certains totalement nus aussi mais harnachés, tiraient une charrette comme des bêtes de somme et subissaient le fouet d’un Dominant injurieux assis sur ladite charrette. Cela me rassura donc très vite, je me sentis de suite dans mon monde. A voir tout ce monde si paradoxalement libre d’être, cela me remplit soudainement d’une joie intense, et mes yeux s’humidifièrent, et ma chatte aussi, car si j’étais émue, cela commençait également à m’exciter… Sur un sourire complice des deux Dominants, ils ...
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