1. Marie ma nouvelle voisine – 22 / 23– Après-midi du dimanche.


    Datte: 01/07/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... nus, si j'y vais comme cela ». C. : « Ils ne seront peut être pas dehors, et si des voisins te voient, tu les salues naturellement comme si tu étais habillée. Il faut vraiment que tu assumes ton nouveau statut de salope ». Marie confiante sors de chez Cello en direction de sa voiture, et alors qu'elle contourne celle-ci, elle voit de l'autre côté de la route, sur le trottoir son voisin, dont la maison se trouve juste en face de la sienne, une baguette de pain à la main. Lorsqu'il la voit, il stoppe sa marche et la salue, Elle lui dis « bonjour » en lui faisant un petit signe de la main en continuant de se diriger vers la portière passager. Son voisin est toujours arrêté à la mater. Elle entend alors sa femme lui demander ce qu'il regarde et lui de répondre : « une apparition », et se dépêcher de rentrer chez lui. Quand je retrouve Marie dans la voiture, elle est en train de te caresser les seins et de rouler entre ses doigts, ses téton dressés. C. : « Qu'est ce qui t'excite comme ça, salope!? » M. : « Heu. !.. C'est mon voisin, monsieur Duval, il m'a vu, et il est resté comme médusé jusqu'à ce que sa femme l'appelle » C. : « Et comment tu as réagis ? » M. : « J'ai fait comme vous me l'aviez ordonné, je l'ai salué et je lui ai même fait un petit signe de la main ». Cello démarre la voiture et lui ordonne de malaxer ses seins et d'étirer ses tétons fortement pendant le trajet, afin que ceux-ci soit bien durs, lorsqu'ils arriverons à la clinique. Le trajet ne dure qu'une petite ...
    ... demi-heure et se passe sans encombre, trop peu de monde dans les rues. Ils arrivent à la clinique et Cello gare la voiture sur le parking visiteurs, puis il descend de la voiture pour venir ouvrir la portière à Marie et la faire sortir. C. : « Tu as vu comment tu es fagoté, le bas de ta blouse remonté sur tes cuisses et le haut totalement ouvert. Heureusement que je suis là pour m'occuper de toi, sinon on pourrait te prendre pour une traînée ». Cello remet le bas de sa blouse correctement, c'est à dire cachant à peine son cul et remonte le zip jusqu'au milieu de ses seins, afin de bien comprimer ceux-ci, mais laisser apparaître un splendide sillon mammaire et deviner ses tétons durcis. A l’accueil, la femme qui les reçoit, leur indique où se trouve le bureau de Laurent, tout en lorgnant sur le décolleté de Marie. Ils empruntent un couloir, qui les mène au bureau du toubib. Cello frappe à la porte. Puis ils entrent et après les amabilités d'usages, entre amis, Laurent complimente Marie. Laurent lui dit qu'elle est très belle, parfaitement bien maquillée et coiffée, qu'il aime son décolleté laissant voir son sillon mammaire généreux et ses tétons durcis pointés sous sa blouse blanche. Elle est heureuse des compliments que lui adresse leur ami. Puis Laurent change de sujet. L. : « Avant de rendre visite aux potentiels clients de Marie, il serait bien que nous nous mettions d'accord, sur les tarifs qu'elle doit demander aux vieux pervers richissimes ». C. : « Oui tu as raison, il ...
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