Business à Barcelone - 6/7
Datte: 01/07/2018,
Catégories:
h,
fh,
ff,
fbi,
hplusag,
extracon,
Collègues / Travail
hotel,
voyage,
toilettes,
amour,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Oral
pénétratio,
... spectacle, elle se contentait de lui sourire, stoïque. Mais avec persévérance, François ne cessa son petit jeu que lorsqu’elle se mordit la lèvre en fermant les yeux… Toutes ces émotions lui avaient donné chaud, et Isabelle éprouva le besoin d’aller se rafraîchir aux toilettes. Elle pensait y être tranquille et se mouillait tranquillement le visage lorsque soudain, relevant la tête, elle vit dans le miroir l’image de François derrière elle. La lueur dans son regard ne laissait pas la place au moindre doute quant à ses intentions et la jeune femme se contenta de lui lancer un sourire coquin. Sans un mot, il l’entraîna vers la cabine handicapés, referma la porte et l’instant d’après elle était plaquée face au mur, enlacée, troussée et… enfilée sans autre forme de procès. L’épisode plus tôt à la chambre l’avait visiblement excité. Ils haletèrent rapidement en harmonie, tandis que chaque coup de reins de son amant la soulevait pratiquement du sol. C’était bon, délicieusement bon, leurs soupirs s’intensifiaient, au point que François eut peur qu’ils se fassent prendre. Il choisit donc de la bâillonner de sa main sur la bouche. La rapidité de son action et la peur de se faire surprendre décuplèrent leurs envies. Isabelle fut emportée par un orgasme puissant, suivi peu après par celui de son homme. Elle voulut s’agenouiller pour à nouveau lécher son sexe, mais François refusa et s’éclipsa. Il la laissa peu à peu reprendre ses esprits : François était à elle, elle ne le laisserait ...
... pas s’échapper. Elle hantait son esprit, elle en était persuadée, au point de lui faire faire des choses incroyables et insensées. Combien de femmes avait-il prises comme cela dans les toilettes d’un restaurant dans sa vie ? Et aussi violement dans leur chambre ? Combien savaient lui offrir ce plaisir ? Et en prendre beaucoup aussi ? Oui, je suis unique, s’auto persuadait-elle, c’est moi qu’il lui faut ! Quand elle fut tout à fait remise, elle constata que son homme avait laissé sa petite culotte au sol. Docile et lubrique et s’empressa de l’enfiler, bien entendu ! Et lorsqu’elle le retrouva à table il n’était même décoiffé et l’accueillit avec un grand sourire.« Gentleman en toutes circonstances… » pensa Isabelle, telle la midinette devant sa star de rock… À peine installée à table, la jeune femme éprouva le besoin de reprendre l’initiative : — J’aimerais bien prendre des nouvelles de la stagiaire du service d’étage…— Voilà une idée qu’elle est bonne… répliqua François en prenant sa main. J’ai cru voir que tu n’avais pas eu le temps de terminer ce que tu avais commencé tout à l’heure !— Je n’ai pas voulu l’effaroucher… Mais je crois qu’elle en avait envie elle aussi.— Pas autant que toi, à mon avis.— Ne va pas t’imaginer des choses, tu penses tout de suite à mal…— Oui, c’est ça. Ça doit être moi qui suis allé lui ouvrir la porte à moitié à poil !— François ! Ne sois pas vulgaire, s’il te plaît… Elle avait lancé cette dernière phrase avec le regard innocent et offusqué d’une ...