1. Une partie d'échecs


    Datte: 01/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... - Tu es vraiment monté comme un âne. Lui dis-je en commençant un mouvement de va et vient sur sa hampe que j’avais du mal à couvrir de mes deux mains. S’étant aperçu que j’étais pas mal mouillée, il tint à continuer et me fit allonger à même le sol, il nous fit mettre tête-bêche et nous eûmes bientôt le sexe de l’autre en bouche. Pendant qu’il me dévorait le vagin, je me suis occupée de sa queue. Magnifiquement monté il devait faire dans les six à sept centimètres pour une trentaine de centimètres de long. Il était plus large et plus long que mon mari qui arrivait déjà bien à me remplir. - Qu’est-ce que ça allait être avec lui ! Je m’attendais au pire ! J’étais donc avec le sexe de David en bouche et j’avoue que j’aimais ça. J’en arrivais à me demander si j’étais devenue, une putain ? Car si mon mari avait fait en sorte de me plier à ses désirs, ses pulsions, je me demandais si je n’en tirais pas une certaine jouissance, si je n’acceptais pas trop facilement de me soumettre à ces plaisirs particuliers. Pour l’instant un sexe masculin me distendait les lèvres, me faisait hoqueter de bonheur. Qu’il était long et gros, qu’il était chaud et parfumé ! Je m’appliquais à en sucer le gland, passais ma langue sur toute la longueur de sa hampe, léchais ses couilles avant de revenir faire un tendre baiser sur son gland. Sa queue prenait encore plus de volume ! J’en étais fière. Il se mit à gémir et cela me donna envie d’en faire plus. Je remontais tout en laissant un filet de salive, ...
    ... je suçotais le bout de son sexe, je redescendis, loin, très loin pour lui faire sentir mon souffle chaud sur son ventre, mes lèvres se frottant sur ses poils intimes. Par moments, je laissais sa queue ressortir complètement du fourreau de ma bouche, puis je la reprenais faisant mine de l’avaler, j’en attaquai l’extrémité en l’enveloppant de toute la largeur de ma langue, je picorais son gland en l’embrassant et en le suçotant. Quant à lui, je l’ai senti repousser doucement mon clito, en révéler la petite tête rouge et dure, suintante d’humidité. Il me léchait le clitoris à petits coups de langue, vifs, incisifs et rapides. Il jouait avec mes lèvres, me léchait la fente de haut en bas, encore et encore, y mettait la langue pour recueillir ma cyprine qui coulait maintenant en abondance. Mon corps allait à la rencontre de sa bouche, de sa langue. Il me dévorait le minou et je coulais comme une fontaine, je creusais le ventre comme pour mieux en faire l’offrande à mon bienfaiteur. Je m’entendis grogner de plaisir, puis ce fut son tour. Il commença à promener sa verge sur mes seins. Le gland, mouillé de ma salive et de ses sécrétions se frottait sur mes mamelons durs et tout érigés. Son bout laissait perler des gouttes transparentes qu’il s’appliqua à m’étaler sur mes aréoles. Sous la caresse mouillée ma poitrine presque douloureuse vraiment durcit. Après une bonne dizaine de minute de frotti-frotta, de mes seins sur son pénis, j’avais pris le rythme, je voyais en contre-plongée, ...
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