1. Une partie d'échecs


    Datte: 01/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... des sous-vêtements. Finalement son choix s’arrêta sur un chemisier transparent, qui se révélait plus courte encore que ma jupette de tennis et sur un tout petit string rouge transparent au possible. Je devrai porter le tout avec une paire de souliers à talons aiguille. Ça me donnait, une cambrure exceptionnelle. N’étant pas encore habillée, il me fit remarquer que la touffe de poils qui ornait mon sexe était bien mignonne. - Viens donc me la raser. Comme cela je serai entièrement glabre pour toi. - Comment sais-tu que c’est mon fantasme ? - Mon mari me l’a déjà dit. Tu vois, à toi il te parle de moi eh bien, à moi, c’est de toi qu’il parle. En fait, la petite touffe de poils ras qui surmontait mes grandes lèvres je l’avais surtout pour lui. Il aimait m’embrasser là pour commencer. Pour lui, c’était la ligne de départ de tout cunnilingus. Il serait donc privé de ce point de repère pendant un certain temps ! David s’arma du rasoir de mon mari. Moins d’une minute après, j’étais redevenue comme le jour de ma naissance. Pendant qu’il faisait office de barbier, dans la baignoire, je me lavais, et j’avoue que je fus satisfaite du résultat et plus encore du soin avec lequel il me passa du baume apaisant sur le minou. Je fus prise de pitié en le voyant tenter de remettre le slip de bain échancré que lui avait prêté mon mari. - Il y a une autre armoire dans la chambre, qui est à mon mari. Prends donc un caleçon ou un boxer, tu y seras plus à ton aise. Après s’être changé il revint ...
    ... vers moi, et reconnaissant, m’embrassa tendrement, faisant naître en moi une onde de désir. - Es-tu certain que le baume apaisant que tu m’as mis ne tâche pas ? Je ne voudrais pas faire une tâche sur un string propre. - Eh bien, le mieux c’est que tu n’as qu’à pas en mettre. - Arrête, idiot ! Nous retournâmes voir Mon mari qui attendait tout penaud. - Tu as une bien jolie maison, le complimenta son copain, c’est une chose de la voir en photo et une autre que de pouvoir en profiter avec la maîtresse des lieux qui en est le joyau. Les deux hommes s’assirent sur un canapé et moi je pris place, en face d’eux, dans un fauteuil qui me força à écarter les jambes. Je vis mon mari qui buvait un whisky, s’étrangler en constatant que mon minou était lisse comme le dos de ma main. Je lui fis un adorable sourire de garce j’en conviens, et lui dit : - Tant qu’à appartenir à David jusqu’à dimanche soir, je trouve qu’il vaut mieux lui accorder tous ses plaisirs et tous ses fantasmes. - Alors là, me dit David, si tu m’accordes tous mes fantasmes saches qu’il y en a un que je voudrais réaliser avec toi. - Ah oui, et lequel ? - Ça serait de faire l’amour à trois, à quatre voire à plus. Pour l’instant je ne vois que ton mari ici, alors la partie à trois est réalisable. Ah, le salaud il s’en tire encore bien. Même si j’ai des raisons de lui en vouloir, j’ai présent à l’esprit que c’est lui qui m’a tout appris en matière de sexe. Il a voulu aujourd’hui me partager avec un autre, eh bien il en sera ...
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